Des mesures fortes pour Cannes
Lundi 29 septembre, lors de la séance du Conseil municipal, 47 délibérations ont été votées. Autant d’actions concrètes pour améliorer la vie quotidienne des habitants : logement, accès aux soins, protection du patrimoine et accompagnement des agents municipaux.
Logement : optimiser les ressources et créer de nouvelles opportunités
Parmi les décisions phares, plusieurs concernent le logement. Deux immeubles auparavant occupés par des services municipaux seront transformés en résidences principales, avec une garantie de location longue durée. Un autre a été vendu à un bailleur social pour lutter contre l’habitat indigne et créer de nouveaux logements.
David Lisnard a insisté sur la logique de gestion appliquée :
« Une délibération qui pourrait paraître anodine mais qui traduit bien la méthode que nous appliquons à la mairie et qui nous permet de baisser la dette et la fiscalité. Nous avons réduit le nombre d’agents communaux (-401, sans même compter les départs vers l’intercommunalité) grâce à nos gains de productivité. Or, moins d’agents = moins de besoins de locaux = surtout une baisse des dépenses de fonctionnement + “accessoirement” une recette d’investissement par la vente aux enchères de l’immeuble concerné. Au profit des contribuables comme des familles qui vont pouvoir se loger sur le marché privé. »
David Lisnard
Patrimoine et transmission
Le Conseil municipal a également voté la restauration des portes de l’église Notre-Dame de Bon Voyage, dans le cadre du Plan Églises, qui a déjà permis la rénovation d’édifices tels que Notre-Dame d’Espérance, la chapelle de la Miséricorde ou encore Saint-Cassien.
Santé, sécurité et mémoire
Autres décisions marquantes :
•le déploiement d’une plateforme innovante d’accès aux soins pour les personnes isolées,
•la pérennisation du dispositif des Cadets de la Police Municipale,
•l’intégration du Secours Civil Cannes Pays de Lérins au Plan Communal de Sauvegarde,
•la coopération avec l’Agence Nationale de Lutte Contre l’Illettrisme pour renforcer la formation des agents municipaux.
Protéger l’archipel de Lérins
Enfin, le Conseil municipal a confirmé l’engagement fort pour la protection du patrimoine insulaire avec le renforcement de l’inscription de l’île Saint-Honorat au patrimoine mondial de l’UNESCO et la demande de classement intégral de l’île au titre des monuments historiques.
Cannes accueille le monde avec le Tax Free 2025
Le Palais des Festivals et des Congrès accueille depuis lundi 29 septembre le Tax Free World Exhibition, salon international du duty-free inauguré par David Lisnard aux côtés de Philippe Margueritte, Tony Parker et Ameca, robot humanoïde impressionnant.
Cannes vit cette semaine au rythme du Tax Free World Exhibition, rendez-vous incontournable de l’industrie mondiale du duty-free. L’édition 2025 a été officiellement inaugurée le lundi 29 septembre par David Lisnard, en présence de Philippe Margueritte, président du TFWA, de Tony Parker et d’Ameca, robot humanoïde de 1,87 mètre, doté de 27 moteurs capables de reproduire les émotions humaines.
Événement emblématique de la vie cannoise, le Tax Free confirme chaque année l’attractivité internationale de la ville. Jusqu’à jeudi, ce sont près de 10 000 visiteurs, venus du monde entier, qui se retrouveront au Palais des Festivals et des Congrès pour échanger, innover et développer un secteur en constante évolution.
Taxe Zucman ou les habits neufs du vieux collectivisme
Face à la démagogie fiscale, partagée de l’extrême gauche au RN, rappelons que l’impôt n’a pas à être moral, il doit être utile et efficace, ce qu’il n’est plus depuis longtemps. Une tribune de David Lisnard parue dans Valeurs Actuelles le 24 septembre 2025.
La France détient le record mondial en matière de taux de prélèvements obligatoires. Si la fiscalité créait la prospérité, nous serions le pays le plus riche du monde. Or, la réalité est cruelle: services publics dégradés, hôpital en crise, école qui s’effondre, économie atone, appauvrissement relatif en termes de PIB par habitant. Le problème n’est évidemment pas le manque de recettes fiscales mais il vient d’un État inefficace et dépensier. Et pourtant, nous assistons depuis des semaines à un détournement d’opinion publique à travers un débat daté et dépassé: taxer les « ultrariches » par le mécanisme de la taxe dite Zucman est ainsi devenu le nouvel étendard de l’égalitarisme fiscal, ce poison collectiviste qui préfère punir la réussite plutôt que favoriser la prospérité.
Comme souvent, ce qui peut paraître séduisant est ici trompeur et dangereux. Les 20 milliards de recettes annoncés relèvent en effet de la fiction comptable. Les estimations sérieuses, intégrant les effets d’évitement et l’exil fiscal, convergent vers 3 à 5 milliards au mieux la première année. Encore moins par la suite.
En réalité, le solde sera négatif car en s’attaquant à la propriété privée, on décourage l’investissement privé et la création de richesses. L’expérience de l’impôt sur la fortune (ISF) devrait nous servir: chaque euro prélevé s’accompagnait de pertes supérieures en capital détruit et en entrepreneurs exilés. L’Allemagne, la Suède, le Dane-mark, l’Autriche, les Pays-Bas ont supprimé leur impôt sur la fortune. La Norvège en fait le constat après des mois d’hémorragie fiscale. Partout, le bilan est identique: fuite des capitaux, destruction d’emplois, recettes dérisoires.
Cette taxe frapperait des actifs illiquides: parts d’ETI (entreprises de taille intermédiaire), actions non cotées, start-up en croissance. Elle confond valorisation et revenus, capital immobilisé et trésorerie disponible. Une entreprise qui réinvestit ses bénéfices n’a pas de liquidités pour payer. La mécanique est implacable: pour s’acquitter de l’impôt, il faut vendre des parts, diluer le capital français et ouvrir la porte aux fonds étrangers. Les vraies victimes ne seraient pas les supposés « ultrariches » qui partiront, ce seraient les salariés qui resteront.
Pour augmenter le pouvoir d’achat, il faut augmenter les revenus. Pour augmenter les revenus, il faut augmenter la production. Et la production précède toujours la distribution. Or, il n’y a pas de production sans capital, et pas de capital sans protection du droit de propriété.
Une telle taxe sur la détention d’actifs non monétisables revient à légitimer une forme de dépossession légale. Ce glissement est à la fois économiquement dangereux et politiquement malsain. Il installe l’idée que l’État a un droit de regard permanent sur ce que vous possédez, même en l’absence de revenus.
Face à cette démagogie fiscale, partagée de l’extrême gauche au Rassemblement national, en passant par tout le spectre politique, il faut rappeler que l’impôt n’a pas à être moral mais qu’il doit être utile et efficace, ce qui n’est plus le cas depuis longtemps. On le sait: trop d’impôt tue l’impôt. À partir d’un certain seuil, il tue le contribuable. Aujourd’hui, l’urgence n’est pas de taxer davantage, la priorité est de dépenser beaucoup moins. La dépense publique atteint un tel niveau qu’elle étouffe l’investissement privé, donc la croissance, donc les recettes futures. Cette réalité économique est vérifiable partout dans le monde.
Taxer le succès aujourd’hui, c’est sacrifier l’avenir. Ne commettons pas cette faute historique. Refusons la confiscation qui appauvrit. Choisissons la prospérité par l’investissement, la propriété et la liberté d’entreprendre.
Pas de pourboire pour l’Etat
Avez-vous envie de laisser un pourboire à l’Etat plutôt qu’au pompiste ou au serveur ? Moi, non. C’est pourtant ce qui est en gestation à Bercy. Retrouvez la chronique de David Lisnard pour l’Opinion.
Incapable de se réformer pour faire des économies, l’Etat continue de faire littéralement les poches des Français. Toujours aussi créatif quand il s’agit de remplir les caisses qu’il vide aussitôt, il pioche toujours plus profond, là où c’est facile.
Cynisme. A partir de janvier 2026, il s’apprête à franchir un nouveau seuil de cynisme en taxant les pourboires. Oui, les pourboires. Ces quelques euros glissés pour saluer un bon service. Cette gratification modeste et humaine, née de la reconnaissance, non de la contrainte. Ce complément de revenu bienvenu pour ceux qui travaillent dur, souvent pour des salaires modestes, dans des métiers exigeants et mal considérés.
Il faut n’avoir jamais passé une soirée de service en restauration pour envisager une telle mesure. Il faut n’avoir jamais tenu un plateau, assuré des livraisons ou des heures de route, affronté les heures debout, le stress, les clients difficiles, le rythme éreintant d’un double service pour imaginer ponctionner ce qui relève d’un simple geste de gratitude.
Mais dans les bureaux des technocrates, où l’on s’échange plus facilement des tableaux Excel que des poignées de main, le réel n’existe plus. Pour ces gens-là, tout est flux, tout est traçable, tout est taxable. A leurs yeux, un pourboire n’est pas un merci, c’est une niche fiscale.
Le gouvernement prévoit ainsi de ne pas reconduire, à partir de 2026, l’exonération de charges et d’impôts sur les pourboires instaurée en 2022. Une mesure pourtant saluée par l’ensemble du secteur, et utile pour redonner de l’attractivité à des métiers qui peinent à recruter. Les chiffres sont clairs : 83 % des salariés considèrent le pourboire comme un avantage incontournable. Ils sont 41 % à envisager de quitter leur emploi si ce revenu est taxé. Faut-il vraiment aggraver la pénurie de main-d’œuvre dans la restauration pour quelques miettes fiscales ?
Car cette idée est non seulement injuste, mais économiquement absurde. Son rendement budgétaire sera marginal, voire négatif. Ce ne sont pas grâce aux pièces laissées par les clients qu’on comblera un déficit public annuel de 170 milliards d’euros. Ce n’est pas en prélevant quelques euros sur un sourire qu’on réformera l’Etat. Le coût administratif de cette collecte dépassera probablement son rendement.
Spirale infernale. Voilà la spirale infernale de l’inefficacité coûteuse qui pénalise le mérite. Plus l’État est obèse, plus il a faim. Plus il prend de l’argent, plus il est clochardisé. Plus il échoue, plus il ponctionne. Plus il dysfonctionne, plus il surveille ceux qui tiennent encore par le travail.
Il faut une sacrée déconnexion sociale pour penser que quelques euros de pourboire sont un luxe. Mais surtout, il faut manquer singulièrement de courage politique pour aller chercher là ce que l’on n’ose pas récupérer ailleurs.
Ce système est devenu fou. Il confond la fraude et la reconnaissance, le privilège et la récompense, le travail et la rente, la spoliation et l’impôt. Il surveille le serveur plutôt que le fraudeur. Il prétend taxer la générosité quand il faudrait contrôler la corruption, coûteuse et toxique, conséquence de la confusion que génère l’Etat dans l’économie via sa caste nourrie au capitalisme de connivence, celui des circuits opaques de la dépense publique, des copinages bien placés, des passe-droits protégés. Pendant qu’on traque les euros du serveur, on ferme les yeux sur les millions qui s’évaporent dans les méandres de l’administration.
Inefficacité. Ce projet dit tout d’un système usé, rongé par l’inefficacité, incapable de se réformer mais toujours capable de punir ceux qui travaillent dans l’économie réelle, de l’effort et du risque. Cette mesure consacre l’échec d’une vision purement redistributive de la société : au lieu de créer de la richesse, on organise méthodiquement sa confiscation.
On ne demande pas au gouvernement de féliciter les serveurs, chauffeurs, pompistes, coiffeurs ou autres livreurs. On lui demande simplement de ne pas les pénaliser. De ne pas humilier des professionnels par une mesure mesquine et contre-productive.
Liberté. Le pourboire, c’est le dernier espace de liberté dans la relation de service. Un client satisfait gratifie directement celui qui l’a bien servi. Sans intermédiaire. Sans bureaucratie. Sans Etat. C’est précisément ce qui dérange. Cette zone libre de générosité insupportable au Léviathan fiscal. Cette transaction humaine qui échappe à la machine administrative.
Refusons cet Etat soupçonneux et tatillon. Un Etat qui ne croit plus en l’initiative, qui traque ce qui échappe à ses radars, qui taxe ce qu’il ne comprend pas. Un Etat qui étouffe les élans simples – l’effort, le mérite, la générosité – sous prétexte d’équité.
Faudra-t-il demain déclarer les quelques pièces données à une personne nécessiteuse ? Jusqu’où ira cette folie bureaucratique ?
A force de tout vouloir encadrer, cet Etat détruit ce qu’aucune loi ne peut décréter : les ressorts moraux qui tiennent une nation debout – la décence, la reconnaissance, la solidarité librement consentie. Ce ne sont pas des variables fiscales. Ce sont les conditions élémentaires du lien social qu’il nous appartient de reconstruire par le sens de la justice et de la mesure.
Réhabilitons l’effort, allégeons les charges, retrouvons du bon sens fiscal : tout commence par le respect de ceux qui, chaque jour, accomplissent leur part, honnêtement, avec dignité.
Tout comme on ne rétablira pas les comptes publics en faisant les poches des Français, on ne redressera pas le pays en surveillant les pourboires pendant qu’on ferme les yeux sur la fraude et la corruption. On le redressera en ayant le courage de réformer l’Etat, de libérer le travail, de valoriser le mérite. En rendant à chacun ce qui lui appartient : au serveur son pourboire, au citoyen sa liberté, à l’Etat ses vraies missions. Ainsi va la France…
« Mon devoir impératif, c’est de faire gagner la France »
David Lisnard a consacré deux journées intenses en Corse, entre visites, rencontres et moments de vérité partagés avec les habitants.
Bastia : rencontres et savoir-faire local
Lundi, aux côtés du député François-Xavier Ceccoli et de Pierre Alessandrini, relais Nouvelle Énergie en Corse, David Lisnard a déambulé dans les rues de Bastia, ville magnifique, riche de son histoire, de sa culture et surtout de ses habitants.
Il a ensuite visité la brasserie Pietra, fleuron du Groupe Boissons de Corse (LN Mattei, distillerie Mavela, usine Coca-Cola), en compagnie de David Dary et Hugo Sialelli. L’occasion de saluer une réussite entrepreneuriale qui fait rayonner le savoir-faire corse.
Borgo : une réunion publique pleine d’énergies corses !
Le soir, à Borgo, une salle comble s’est rassemblée pour écouter David Lisnard. Vérité, courage et ambition ont marqué son discours, dans lequel il a affirmé :
« Mon devoir impératif, c’est de faire gagner la France. »
Face à un public attentif, il a développé une vision claire :
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« Une France qui ne s’excuse plus d’être la France, qui assume ce qu’elle est et retrouve une fierté collective. »
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« Plutôt que de mettre des rustines au Titanic, il faut passer d’un État-providence d’inefficacité à un État de performance. »
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« Libérer les entrepreneurs de la folie bureaucratique, l’université du wokisme, l’éducation des prêts-à-penser… en allégeant la codification, on relance la création. »
Bonifacio et Olmeto : congrès et émotion familiale
Le lendemain, David Lisnard s’est rendu à Bonifacio pour participer au congrès de l’ANEL (Association nationale des élus du littoral), avant de rejoindre Olmeto, village de ses origines maternelles.
Un moment riche en émotion où il a échangé avec des élus locaux, le maire, mais aussi avec des membres de sa propre famille. Ce retour aux racines illustre la force du lien charnel qu’il évoquait déjà la veille :
« C’est ce lien avec notre terre, avec la France, qui nous oblige. »
Une Nouvelle Énergie pour la France
Tout au long de ce déplacement, David Lisnard a rappelé la nécessité d’une alternative puissante :
« L’État doit sanctionner plus les voyous et laisser en paix les gens bien ; les enfants doivent recevoir une éducation respectueuse de l’histoire et du mode de vie français. »
Avec Nouvelle Énergie, il appelle à tourner la page des illusions et à porter une espérance collective :
« L’enjeu, c’est de faire gagner la France : que nos enfants puissent se projeter dans leur pays. Pour toutes ces raisons, portons une Nouvelle Énergie pour la France. »
Retrouvez son interview accordée au France Bleu RCFM.
David Lisnard en Corse : « Je ne cherche pas à plaire, je cherche à convaincre »
En déplacement en Corse, David Lisnard, président de Nouvelle Énergie, s’est exprimé dans l’émission PuliticaMente sur RCFM.
Autonomie : une illusion institutionnelle ?
Favorable à la décentralisation, David Lisnard met en garde contre « une illusion institutionnelle » :
« En Corse, on parle surtout de transports, de logement, du coût de la vie… Pas seulement d’autonomie. Quand vous perdez tous les matchs de foot, il y a ceux qui essaient d’améliorer l’équipe, et ceux qui veulent changer les règles. »
Reconnaissance d’un État de Palestine : « une faute lourde »
Il critique également la décision d’Emmanuel Macron à l’ONU, qualifiée de « faute lourde ».
Taxe Zucman : « une illusion dangereuse »
Concernant la proposition de taxe sur les grandes fortunes, il tranche :
« Cette taxe, c’est une illusion dangereuse. Elle ne résoudra rien. Si on empêche les entrepreneurs de développer leurs entreprises ici, ils iront ailleurs. »
« Convaincre, pas plaire »
« Moi je ne cherche pas à plaire, je cherche à convaincre. »
Avec Nouvelle Énergie, David Lisnard défend une ligne claire : réduire la dépense publique, libérer l’innovation et refuser les illusions fiscales qui aggravent les problèmes.
Retrouvez le replay de son interview sur le site de France Bleu RCFM en cliquant ici.
La taxe Zucman est une illusion dangereuse
FISCALITÉ. Le président de Nouvelle Énergie dénonce un débat démagogique, qui risque de freiner l’investissement et d’affaiblir la France. Retrouvez son interview parue sur le JDD, dimanche 21 septembre.
David Lisnard invité du 8.30 Franceinfo
Invité ce mercredi 24 septembre sur franceinfo, David Lisnard a jugé « impensable » toute participation à un gouvernement qui instaurerait une nouvelle taxe sur les plus riches. Il refuse, « pour sa part », que son parti soit « co-responsable d’une politique qui enfoncerait encore davantage le pays dans l’échec social et économique » en ajoutant « une couche de fiscalité » supplémentaire.
David Lisnard célèbre le 34e anniversaire de la République d’Arménie à Cannes
Depuis la Maison des Associations, David Lisnard a célébré le 34e anniversaire de la République d’Arménie, aux côtés de l’Union des Arméniens de Cannes et de ses Environs (UACE).
Cannes entretient un lien d’amitié historique et indéfectible avec le peuple arménien, marqué par une présence forte et vivante dans la ville. Cette amitié s’incarne jusque dans le nom de la promenade Charles Aznavour, inaugurée en 2022, en présence du fils du chanteur, qui rend hommage au grand artiste franco-arménien.
Cette année, la cérémonie a mis à l’honneur le Mont Ararat, montagne sacrée des Arméniens, symbole de leur histoire et de leur identité.
À cette occasion, David Lisnard a rappelé que le lien indéfectible entre nos deux peuples doit nous conduire à réagir quand des crimes de guerre sont commis, comme ce fut le cas dans le Haut-Karabagh avec l’agression de l’Arménie par l’Azerbaïdjan.
Il a également réaffirmé son soutien constant à la communauté arménienne, comme il le fait chaque année au printemps lors des cérémonies d’hommage aux victimes du génocide arménien de 1915, qu’il préside aux côtés des nombreux Cannois d’origine arménienne.
David Lisnard salue l’engagement des agents de la collecte des déchets de Cannes Lérins
David Lisnard est allé auprès des agents de la collecte des déchets de l’agglomération Cannes Lérins, réunis pour leur traditionnelle paella annuelle, préparée avec soin par Jean, l’un des ripeurs du service, au boulodrome Troncy.
Ce moment de convivialité a permis de rappeler combien ces femmes et ces hommes sont quotidiennement en première ligne pour assurer un service indispensable à la qualité de vie des habitants. Leur mission est essentielle : garantir la propreté, l’hygiène et la bonne tenue de tout le bassin de vie, dans chacune des communes de l’agglomération.
David Lisnard a tenu à leur adresser un message clair de gratitude et de reconnaissance :
•pour leur engagement sans faille,
•pour la qualité du service rendu,
•et pour leur mobilisation constante, quelles que soient les conditions.
À travers ce geste, il a réaffirmé l’importance de ces métiers de terrain, parfois invisibles mais absolument indispensables à la vie quotidienne de chacun.
Dans un contexte où l’exigence de qualité de service public est au cœur des attentes, l’agglomération Cannes Lérins peut compter sur des équipes investies, dont le travail mérite d’être salué et soutenu.