Un homme sincère, fidèle à ses racines
David Lisnard descend d’une très ancienne famille cannoise ayant contribué à la vie de la commune. Son arrière-grand-père, Léon, alors entrepreneur dans la rue Mimont, a construit le marché Forville en 1934. Ses grands-parents, Suzanne et Raymond, tenaient l’hôtel « Le Soleil d’Azur », rue Louis Blanc. Son père, Denis, a débuté sa carrière de footballeur professionnel à l’AS Cannes.
Après des études secondaires au lycée Carnot, David Lisnard obtient son baccalauréat au lycée Bristol. Il s’engage alors en Sciences Politiques à Bordeaux puis à Paris dont il sort diplômé en 1992. L’été, à Cannes, dès l’âge de 16 ans, il effectue des « petits boulots » pour financer ses études et assumer son autonomie. Après avoir effectué son Service National, il collabore à plusieurs journaux pour lesquels il rédige des articles. Dans le même temps, il dispense des cours à des prépas HEC et Sciences Po.
Très tôt passionné par la politique, il est recruté en 1996 par le député-maire de Lons-le-Saunier et président de l’Association des Maires de France en tant que directeur de cabinet et attaché parlementaire. Cette expérience confirmera son goût pour la chose publique et le service d’une communauté humaine.
En 1999, David Lisnard revient à Cannes, dans sa ville, où il assure la gérance du commerce familial et travaille à la Fondation Sophia-Antipolis. Il prend part à l’aventure municipale dans la perspective des élections de 2001. Il est alors élu adjoint au maire. Puis, il assume la présidence de la Société d’Exploitation du Palais des Festivals et des Congrès (SEMEC) et celle du Syndicat Intercommunal chargé de la gestion de l’eau potable pour les communes alimentées par le canal de la Siagne (SICASIL). Fonctions qu’il assurera avec succès sans discontinuer durant treize ans.
Un homme pragmatique, gestionnaire, protecteur des contribuables
Dans toutes ses responsabilités, David Lisnard poursuit l’objectif de construire l’avenir tout en protégeant les contribuables. C’est ainsi qu’avec ses collaborateurs, il désendette totalement le Palais des Festivals et qu’il réduit de 42 millions d’euros la participation publique au chiffre d’affaires de la SEMEC. Parallèlement, il fait progresser de 80% le chiffre d’affaire de l’établissement auprès des clients privés. Au Sicasil, David Lisnard renégocie le contrat de l’eau potable. Il obtient une baisse de 23% du prix pour l’usager et modernise les canalisations pour renforcer la qualité et la sécurité sanitaire de l’eau du robinet.
Fort de son expérience de chef d’entreprise et de son expertise de gestionnaire, David Lisnard est sollicité en 2008 pour prendre la présidence de Service Public 2000, cabinet de conseil et d’audit aux collectivités locales. Durant quatre ans, il réorganise et renforce la structure pour en faire aujourd’hui un leader de la performance publique au service des institutions décentralisées.
Homme de dossier, David Lisnard est aussi et surtout un homme de terrain, ancré dans les réalités de la vie locale : on le croise d'ailleurs régulièrement dans nos rues, y compris très tôt le matin, en train de vérifier l'entretien des espaces publics et le travail des agents. En 2008, il crée une délégation municipale du cadre de vie afin de lutter contre tout ce qui nuit à la tranquillité publique et rapprocher les services de la collectivité des habitants. L’objectif est clairement d’être à l’écoute des habitants et d’apporter des réponses concrètes et rapides aux problématiques soulevées, avec un suivi personnalisé et permanent.
Élu conseiller général des Alpes-Maritimes la même année, avant de prendre la Vice-Présidence du Département en 2014, David Lisnard défend les dossiers cannois au sein de l’assemblée départementale et obtient des garanties pour soutenir la réalisation des projets municipaux. En 2015, le président du Département des Alpes-Maritimes lui confie la présidence du Comité Régional du Tourisme dont il fait une marque territoriale de référence Côte d’Azur France, créant une vraie synergie avec les professionnels pour proposer une offre culturelle, événementielle et sportive attractive pour attirer de nouveaux flux positifs de visiteurs et renforcer ainsi le territoire azuréen.
Un maire solide, fiable et proche, qui tient ses engagements et fait face à l’imprévu. Nourri de ces expériences, fort de ses résultats, porteur d’une nouvelle énergie pour Cannes, David Lisnard est élu maire de la ville en 2014. Durant les six années écoulées, il confirme sa rigueur de gestionnaire, la fiabilité de sa parole, le respect de ses engagements. Il met immédiatement en place une orthodoxie financière qui bénéficie aux foyers cannois. Il parvient à réduire la dette de la commune de -55,51 millions d’euros en cinq ans, une baisse inégalée dans l’histoire de la commune. Il fait réaliser 39 millions d’euros d’économies sur le fonctionnement de la mairie tout en maintenant une haute qualité du service public. Il réalise en moyenne chaque année 58 millions d’euros d’investissement pour concrétiser le projet de mandat et améliorer concrètement la qualité de vie des habitants dans tous les quartiers, sans jamais augmenter les taux communaux d’imposition.
Opérations d’embellissement, de rénovation et de sécurisation des espaces publics ; construction de nouveaux équipements pour l’éducation, la jeunesse, le sport, la culture, la vie associative ; modernisation du fonctionnement de la mairie avec la mise en place d’un management participatif, développement de nouvelles filières comme celle de la création numérique et des métiers de l’écriture, David Lisnard a insufflé une nouvelle dynamique à notre ville, un nouvel état d’esprit notamment dans le cadre de la lutte contre l’incivisme placée au cœur de son action. Précurseur en la matière, sentant avant tout le monde l’impact sociétal des manquements à l’esprit civique sur l’espace public, son action est alors donnée en exemple par l’Association des Maires de France et reprise par de grandes villes dont Paris, Nice, Noisy-le-Sec... David Lisnard est également le premier maire à élaborer un plan communal de prévention du risque terroriste en France, dans le cadre de la gestion des risques majeurs, après les attentats de Paris en 2015, afin de protéger au mieux tous les âges de la population, à travers une série de mesures de protection et de réaménagement urbain et portuaire.
Dans la nuit du 3 octobre de la même année, la commune est frappée par un phénomène météorologique historique. Le soir même, David Lisnard prend la direction des opérations en déclenchant le plan de sauvegarde de la commune pour sécuriser au plus vite les personnes, organiser les secours, aller au contact des habitants sinistrés et leur venir en aide concrètement, nettoyer et réparer le domaine public. Une expérience qui a profondément marqué, humainement et moralement, David Lisnard qui reconnaît « un avant et un après intempéries ». Il fédère alors les communes du bassin versant, la communauté d’agglomération, le Département et l’Etat dans une démarche partagée du risque d’inondation. Il développe sur la commune de nouveaux dispositifs d’alerte à la population, engage un plan de nettoyage des vallons et cours d’eau en amont, édicte de nouvelles règles pour renforcer la rapidité et la performance communale dans la gestion de crise.
Cette recherche de cohésion territoriale s’inscrit dans la durée alors que David Lisnard prend la présidence de la communauté d’agglomération Cannes-Lérins en 2017. Il y applique alors les mêmes exigences qu’à la mairie de Cannes : pas de fiscalité additionnelle et des projets qui renforcent le développement économique, la formation et l’emploi, l’aménagement urbain au service de la qualité de vie des habitants de Cannes, Le Cannet, Mandelieu-La Napoule, Théoule-sur-Mer. Une vision qu’il propose d’étendre à l’ensemble de l’ouest des Alpes-Maritimes en créant un pôle métropolitain « Cap Azur » avec les présidents des intercommunalités Alpes d’Azur, Antibes-Sophia Antipolis et Pays de Grasse afin de travailler ensemble sur un schéma de cohérence territoriale et de coopération dans les domaines tels que l’aménagement et l’urbanisme, les transports en commun, la gestion des déchets...
La dynamique dans laquelle David Lisnard a entraîné la ville de Cannes, sa compétence de gestionnaire confirmée par les résultats budgétaires salués par la Chambre Régionale des Comptes en 2018, sa capacité à imaginer la ville de demain avec les potentialités et les risques des nouvelles technologies, sa défense du modèle républicain de communes libres et souveraines, face à un Etat de plus en plus pesant et restrictif, l’amènent à la vice-présidence des Maires de France (AMF) dont il devient également porte-parole en 2017. Au sein de l’association des édiles français, David Lisnard plaide notamment pour un passage à l’acte III de la décentralisation afin de renforcer et rapprocher la prise de décision au plus près des habitants.
Un père de famille aux valeurs assumées, un esprit sain dans un corps sain
Âgé de 51 ans, David Lisnard est père de trois enfants. Installé en plein cœur de la ville, dans le quartier République-Gallieni, il est ancré dans les réalités de la vie locale. Sportif, David Lisnard court (notamment les marathons), nage, boxe mais cultive aussi un esprit curieux qu’il nourrit de littérature, de magazines et de presse quotidienne. David Lisnard lit beaucoup et il écrit aussi. Il est notamment co-auteur du livre Refaire communauté, pour en finir avec l’incivisme publié en 2018 et travaille à la rédaction d’un nouvel ouvrage dédié à la culture.
Attaché à l’identité de Cannes, enracinée dans la tradition provençale et ouverte sur le monde par la Méditerranée, David Lisnard croit aux valeurs d’intégrité, du travail, de l’effort et du mérite qui donnent du sens à la vie et permettent l’épanouissement des individus par le dépassement des prérequis.