Cannes, mieux armée contre les catastrophes naturelles
Toute une signalétique a été déployée à Cannes en cas de tsunami : des macarons directionnels ont été posés sur les trottoirs, des autocollants fléchés se trouvent sur le mobilier urbain, des panneaux complémentaires ont été installés et désormais, près de 380 haut-parleurs sont positionnés dans toute la cité, îles de Lérins comprises, pour alerter de l’arrivée de la déferlante. L’objectif ? Sauver des vies en dirigeant les habitants vers les points hauts de la ville, des «zones refuges» où l’eau n’arriverait pas jusqu’à leurs chevilles.
Dans les 30 prochaines années, les scientifiques s’accordent à dire qu’une telle vague sur la Côte d’Azur paraît inévitable. Alors, la municipalité de Cannes se prépare déjà à affronter cette catastrophe, comme d’autres, puisque le maire David Lisnard (Nouvelle Énergie) a fait de la gestion des risques majeurs l’une de ses priorités depuis sa première élection en 2014.
Et il faut dire que tout s’est accéléré après octobre 2015 et les inondations mortelles dans le bassin cannois. « Le 3 octobre 2015, qui fait partie des trois plus violents épisodes pluvieux de l’histoire de France, a changé ma vie », admet David Lisnard. « Il y a un avant et un après, je venais d’être élu et j’ai vu des morts dans des caves », se remémore-t-il dix ans après.
Vingt personnes sont mortes noyées en essayant, pour beaucoup, de sauver leur voiture dans des parkings souterrains ou sur des routes transformées en torrents en à peine une demi-heure. Un cauchemar en plus de dégâts impressionnants : du bitume fracassé, des véhicules emportés, des arbres et des panneaux arrachés lors de cet orage stationnaire dont le danger avait été très sous-estimé.
De cette catastrophe est née une réponse qui tient en quatre lettres : « Papi », pour programme d’action et de prévention des inondations, lancé collectivement par l’agglomération cannoise, dont David Lisnard est aussi président. Une enveloppe de 145 millions d’euros sur 20 ans doit servir à « la réalisation d’aménagements pour réduire l’intensité et les conséquences des crues », résume la collectivité.
Cela se traduit par l’élargissement des cours d’eau, plus de végétalisation pour améliorer la capacité hydraulique, la création de bassins de rétention et de ralentissement des crues ou encore l’installation de batardeaux automatiques dans les garages souterrains les plus exposés.
Certifiée « tsunami ready »
« Nous créons ainsi une culture du risque chez les citoyens pour faire comprendre qu’il fait partie de la vie et que l’inondation n’est plus si grave que ça si on se protège », résume David Lisnard. Cette approche doit permettre aux Cannois d’avoir les bons réflexes le jour J. La mairie les sensibilise en distribuant des guides ou en réalisant des simulations dans des écoles. « La population commence à s’approprier le risque », assurait au Figaro Yannick Ferrand, le responsable des risques majeurs de la collectivité, lors d’un exercice tsunami avec une classe.
En 2020, une étude locale révélait que six habitants sur dix ignoraient que Cannes était exposée au risque d’un tsunami. Il faut remonter à 1979 pour se souvenir d’un tel phénomène sur la Côte d’Azur. L’effondrement d’une falaise sous-marine sur le chantier de la piste de l’aéroport avait entraîné un raz-de-marée sans précédent sur le littoral ouest du département.
En France, seul Cannes est aujourd’hui certifiée « tsunami ready » par l’Unesco, un label reconnaissant qu’une ville sait réagir à l’éventualité d’une déferlante. Une quarantaine d’autres villes dans le monde possède cette certification. Une vague pourrait mettre un peu plus d’une heure à déferler sur une ville azuréenne en cas de séisme au Maghreb mais à peine dix minutes si une activité sismique soudaine était signalée sur les côtes de Sanremo, en Italie.
Article de Lucas Hélin paru dans le Figaro, samedi 15 novembre.
107ᵉ anniversaire de l’Armistice : un hommage solennel et une réflexion sur les défis d’aujourd’hui
Ce 11 novembre, la commémoration de l’Armistice a rassemblé de nombreux Cannois, d’abord devant le Monument aux Morts de La Bocca, puis sur le parvis de l’Hôtel de Ville. Un double hommage à tous les morts pour la France, accompagné d’un discours puissant rappelant à la fois le poids de l’Histoire et les exigences du présent.
La cérémonie a débuté à La Bocca avant de se poursuivre devant le Monument aux Morts de l’Hôtel de Ville. Devant les habitants, les associations patriotiques, les porte-drapeaux, les représentants des forces de sécurité et les élus, un moment de recueillement a été observé pour honorer les combattants tombés pour la France.
Dans son allocution, prononcée à l’occasion de ce 107ᵉ anniversaire de l’Armistice du 11 novembre 1918, David Lisnard a rappelé la charge historique de cette date. Un matin où, après plus de quatre années de guerre totale, les canons se sont tus pour la première fois. Un matin où prenait fin une attente interminable, mais au prix d’un sacrifice humain jamais vu dans notre histoire : neuf millions de morts en Europe, dont un million et demi de Français. À Cannes, mille jeunes hommes ne revinrent jamais, une génération fauchée.
Le discours a insisté sur le caractère profondément français de cette victoire de 1918, obtenue par l’effort immense de l’armée française sur le front occidental, soutenue par les forces venues de tout l’Empire et par nos alliés britanniques, américains, italiens, serbes, belges ou encore arméniens. Un hommage appuyé a également été rendu aux soldats d’Outre-Mer, souvent oubliés mais essentiels à la victoire.
Depuis 2012, le 11 novembre est devenu un hommage à tous les morts pour la France, de toutes les générations du feu. L’occasion de saluer aussi l’engagement des militaires déployés aujourd’hui en opérations extérieures ou sur le territoire national.
Au-delà de la mémoire, David Lisnard a appelé à une lucidité historique : la Première Guerre mondiale a marqué la fin d’un cycle long, celui de la domination européenne sur le monde. Une bascule géopolitique qui, selon lui, résonne avec les bouleversements contemporains : montée en puissance de la Chine et de l’Inde, retour des ambitions impériales, guerre en Ukraine, affrontements hybrides, cybermenaces et révolution technologique accélérée.
Dans ce monde où la force revient concurrencer le droit, la France doit restaurer sa capacité d’action et de protection, en comprenant les nouvelles formes de conflictualité, des drones autonomes aux attaques informationnelles.
Le discours a également dressé le constat de l’effondrement progressif de l’État-providence et des déséquilibres structurels qui fragilisent l’indépendance du pays : dette colossale, déficit chronique, stagnation économique, baisse de la natalité et recul de la productivité. Une situation qui appelle, selon lui, un changement radical d’approche pour retrouver l’efficacité de l’État dans ses missions essentielles.
À ces défis s’ajoutent les menaces intérieures : terrorisme islamiste, séparatisme, violences, recul de l’autorité. À deux jours du dixième anniversaire des attentats du 13 novembre 2015, il a appelé à nommer l’ennemi sans détour et à refuser les relativismes qui empêchent d’agir. Il a également dénoncé les dérives idéologiques qui affaiblissent la cohésion nationale et détournent certains combats sociétaux pour servir, consciemment ou non, les desseins des extrémismes.
Face à ces bouleversements, il a appelé à retrouver les vertus des poilus : le courage, le sens du sacrifice, la fidélité aux valeurs françaises et à la civilisation républicaine. Comme en 1914, alors que la nation affrontait un danger immense, il a appelé à une nouvelle forme d’union sacrée, rassemblant toutes les forces intellectuelles, morales et sociales du pays, contre la résignation, les corporatismes et les idéologies qui affaiblissent la France.
Le discours s’est conclu par un message de confiance dans la capacité des Français à écrire un nouveau chapitre de redressement national, fidèle à l’héritage de ceux qui ont donné leur vie pour la patrie.
Gloire éternelle à nos poilus. Vive la République. Vive la France.
Donner du sens pour mieux servir : la conférence de Julia de Funès auprès des cadres municipaux cannois
Le 6 novembre, à la salle du Conseil municipal, David Lisnard a accueilli la philosophe Julia de Funès pour une conférence dédiée au sens des missions et à la performance du service public.
Cannes poursuit sa démarche d’exigence dans l’action publique. Le 6 novembre, dans la salle du Conseil municipal, les cadres de la Mairie ont participé à une conférence passionnante animée par la philosophe Julia de Funès, invitée par David Lisnard pour nourrir la réflexion sur les pratiques de management au sein de la collectivité.
Pour David Lisnard, l’enjeu est clair : « Chercher la performance en intégrant les retours du terrain, en fixant des objectifs partagés, tout en créant de la liberté et de l’initiative. » Il s’agit de donner du sens aux missions, de s’interroger sur leur finalité, et de vérifier constamment si elles sont réalisées de la manière la plus efficace possible. Car la performance, dans le service public, n’est pas un mot abstrait : elle se mesure à la qualité du service rendu aux habitants, contribuables et usagers.
Dans cette logique, la Ville de Cannes a engagé une démarche systématique d’utilisation de l’intelligence artificielle pour lutter contre les effets paralysants de la bureaucratie. Non pas pour remplacer l’humain, mais pour l’« augmenter ». « L’I.A et la robotique ne remplaceront pas l’homme, mais l’homme qui sait les maîtriser saura remplacer celui qui ne les maîtrise pas », souligne David Lisnard. L’objectif est de renforcer les compétences, d’améliorer la rapidité d’exécution, de réduire les coûts et d’accroître la qualité du travail, tout en rendant les missions plus fluides et plus agréables pour les agents.
La réflexion menée avec Julia de Funès s’inscrit ainsi dans la méthode globale de management mise en œuvre à la Mairie de Cannes : défendre à la fois les contribuables et les usagers, en offrant « le meilleur service possible au prix le plus bas possible ».
Une nouvelle étape dans une transformation qui poursuit le même cap : Cannes avance.
Dignité humaine et responsabilité publique : rénovation des douches municipales au Suquet
Les douches municipales du Suquet ont été rénovées et modernisées. Une action concrète au service de la dignité, qui s’inscrit dans une gestion rigoureuse des finances locales pour maintenir la capacité d’agir.
Ceux qui suivent régulièrement les prises de position de David Lisnard savent l’importance centrale qu’il accorde à la dignité humaine, considérée comme la finalité première de l’action publique. Cette conception ne relève pas du discours théorique : elle s’incarne dans des réalisations très concrètes.
C’est précisément le sens de la rénovation et de la modernisation des douches municipales situées au Suquet. Leur réaménagement permet à celles et ceux qui n’en ont pas la possibilité dans leur vie quotidienne d’accéder à l’hygiène et de bénéficier d’un instant de confort essentiel, souvent déterminant pour la santé, la confiance en soi et la vie sociale.
Mais cette politique sociale ne peut exister que dans un cadre clair : on ne peut aider durablement qu’avec des finances publiques maîtrisées. Comme le rappelle David Lisnard, sans contribuables, il n’y a pas de service public.
À l’occasion d’un point de situation sur l’exécution budgétaire, il confirme que, malgré un contexte national chaotique et très préjudiciable aux finances des communes, la municipalité parvient une nouvelle fois cette année à réduire la dette. Un résultat obtenu grâce aux économies réalisées et à l’amélioration continue de l’organisation interne.
Cette démarche illustre une conviction forte : mieux gérer pour mieux protéger. La solidarité ne s’oppose pas à la responsabilité, elle en dépend. La dignité n’est pas un slogan, elle se prouve par des actes concrets, soutenus par une gestion rigoureuse et une vision de long terme.
Cannes agrandit ses plages publiques : un équilibre retrouvé sur le littoral
Depuis plusieurs années, la Ville de Cannes mène une politique volontariste pour redonner de l’espace à tous sur le littoral. À la plage publique Zamenhof, symbole de cette reconquête, l’agrandissement est désormais visible et concret. Suppression de lots privés installés au fil du temps, lutte contre l’érosion du trait de côte et réensablement régulier : ces actions ont permis de porter à plus de 80% la part de plages publiques à Cannes, tout en préservant un équilibre avec les plages privées qui participent à l’animation et à l’emploi.
« Je vous livre ces photos que j’ai prises tout à l’heure depuis les deux extrémités de la plage publique Zamenhof (que j’appelle toujours depuis mon enfance plage Citroën). Quelle joie de voir que nous sommes parvenus à inverser la tendance du siècle précédent et ainsi à recréer une grande plage publique ! Pendant longtemps à Cannes, notamment dans les années 90–fin 80, les plages publiques diminuaient (mais la dette augmentait…). C’est le contraire aujourd’hui (y compris sur la dette), et je vous avoue être assez fier du travail que nous avons mené pour agrandir les plages publiques, avec plusieurs actions dont :
– la suppression de lots d’établissements privés dont certains avaient été ajoutés en des secteurs inappropriés ;
– la lutte contre le recul du trait de côte qui frappe tous les littoraux, par des aménagements de protections ;
– le réensablement régulier des plages publiques, prioritairement à la Bocca où les coups de mer sont fréquents et les profondeurs sont fortes, mais aussi au Mouré rouge et sur la Croisette.
Sur tout le littoral de notre commune, plus de 80% des plages sont désormais publiques (sans compter celles des îles de Lérins, publiques), et les 20% restants proposent des plages privées (en délégation de service public) qui contribuent à l’animation et à l’emploi, essentiellement sur la partie « événementielle » (entre le Gray d’Albion et le Martinez) de la Croisette et le bd Hibert.
Voilà un équilibre gagnant ! Vive Cannes pour tous. » David Lisnard sur ses réseaux sociaux.
Hommage au Général de Gaulle pour le 55ᵉ anniversaire de sa disparition
Dimanche 9 novembre, à l’occasion du 55ᵉ anniversaire de la mort du général de Gaulle, une cérémonie commémorative s’est tenue à la Croix de Lorraine de la Roseraie, à Cannes. Entouré d’élus, de représentants d’associations patriotiques, d’anciens combattants et de nombreux habitants, David Lisnard a rendu hommage à celui qui demeure une référence majeure de l’histoire nationale et de l’esprit de résistance.
Extraits du discours de David Lisnard :
« Pour de Gaulle, l’esprit de la Constitution de 1958 procède « de la nécessité d’assurer aux Pouvoirs publics l’efficacité, la stabilité et la responsabilité dont ils manquaient organiquement sous la troisième et la quatrième République ». Il ne s’agit pas seulement de textes juridiques, mais d’une philosophie politique : faire en sorte que le pouvoir ne soit plus « la chose des partisans », mais qu’il « procède directement du peuple ».
C’est pourquoi quand il y a une crise durable, et a fortiori un blocage, l’esprit du gaullisme est de revenir au suffrage, d’en appeler au peuple.
(…)
Dès 1964, le Général pressentait déjà que des forces centrifuges chercheraient à dénaturer son œuvre et celle de Michel Debré.
Il dénonçait ceux qui, « trouvant peut-être la mariée trop belle », et sous couvert de modernisation, voudraient revenir au « régime d’Assemblée » ou instaurer un « régime présidentiel » à l’américaine qui ne conviendrait pas à « la nation française, où les multiples partis politiques sont divisés et inconsistants ». Là encore, sa vision fut malheureusement juste.
Les institutions ensuite.
(…)
La stabilité politique de 1958 ne provenait pas uniquement des institutions elles-mêmes, mais de la force que de Gaulle tirait du peuple.
La pratique enfin.
La leçon du Général de Gaulle qui résonne avec le plus d’acuité aujourd’hui est peut-être celle de son départ.
De Gaulle savait que les hommes impriment leur marque sur les institutions. « L’équation personnelle » du chef de l’État compte, tout comme la façon dont les ministres et le Parlement exercent leurs fonctions.
Quand il perd de peu le référendum sur la régionalisation et la réforme du Sénat, en avril 1969, le général de Gaulle décide sur le champ de cesser d’exercer ses fonctions. Rien ne l’y obligeait.
Sa légitimité légale n’était évidemment pas contestée. Sa légitimité politique avait même été renforcée moins d’un an plus tôt à l’issue d’élections législatives très largement victorieuses. Et de Gaulle possédait une troisième légitimitéqui n’appartenait qu’à lui, la légitimité historique.
Mais parce qu’il estimait ne plus avoir la confiance du peupleet qu’il savait que rien n’est au-dessus du peuple, il choisit de démissionner.
Ce geste n’a pas affaibli les institutions. Au contraire. Il a montré que la Ve République n’était pas un régime personnel, mais un système fondé sur la souveraineté populaire.
Quel vertige quand nous mettons en perspective la stature d’un tel homme et le spectacle actuel où les bricoleurs du chaos crient à « la stabilité » quand seule compte celle de leur maintien dans leurs fonctions, au prix de toutes les autres instabilités, fiscales, économiques, sociales.
En un an, trois Premiers ministres se sont succédé sans en réalité parvenir à gouverner. Comme au pire de la IVème République.
Ce qui est appelé stabilité ne correspond en réalité qu’à la stabilité des postes. Appelons cela la lutte des places ! Comme toujours, pour l’aristocratie d’Etat qui s’approprie le pouvoir, il faut que tout change pour que rien ne change. »
Notre-Dame d’Espérance : un nouvel éclat pour l’église du Suquet
Symbole du Suquet et lieu cher aux Cannois, l’église Notre-Dame d’Espérance fera l’objet d’importants travaux intérieurs à partir de 2026. Un investissement de 1,8 million d’euros pour préserver et mettre en valeur ce patrimoine historique.
Retrouvez l’article de Nice‑Matin, paru vendredi 7 octobre, consacré aux travaux à venir en cliquant ici.
Dix Cannois distingués pour leur civisme
Depuis 2017, la Ville de Cannes distingue chaque année des habitants exemplaires à travers les Palmes du Civisme, une initiative lancée par David Lisnard pour promouvoir les comportements responsables et solidaires.
Lundi 3 novembre, dix Cannois ont été honorés à l’Hôtel de Ville pour leurs actions courageuses, altruistes ou citoyennes. Parmi eux, une habitante intervenue lors d’une agression, un ancien pompier ayant secouru une nageuse en détresse, et deux agents municipaux de la Mairie de Cannes qui ont fait preuve de sang-froid face à un vol à l’arraché. D’autres lauréats se sont distingués par leur engagement durable : une photographe valorisant le patrimoine cannois, une responsable associative œuvrant pour le lien social, ou encore un proviseur ayant ravivé le devoir de mémoire auprès des élèves.
À Cannes, le sport est bien plus qu’une activité : c’est un véritable mode de vie
Le label « Ville active & sportive » de Cannes a été renouvelé le 30 octobre, et la ville a obtenu quatre lauriers, soit le plus haut niveau de distinction.
Cette reconnaissance, attribuée par le Conseil national des villes actives et sportives en partenariat avec le ministère des Sports, le Comité national olympique et sportif français et l’Union sport & cycle, salue la qualité des équipements, la diversité des activités accessibles à tous, le soutien aux clubs et associations, la promotion du sport santé et l’innovation.
Elle consacre la politique menée par la municipalité pour favoriser la pratique du sport pour tous et en faire un véritable lien social dans le cadre du programme « Cannes, capitale du sport en plein air », lancé en 2016. Ce dispositif permet à chacun de pratiquer une activité physique librement, sur terre comme en mer, du fitness à la voile, du trail au paddle, grâce à un réseau d’équipements accessibles sur l’ensemble du territoire.
Cannes compte aujourd’hui plus de 420 000 m² d’équipements sportifs, plus de 200 clubs et 24 000 licenciés, témoignant d’une vitalité exceptionnelle du mouvement sportif local.
« Cette distinction récompense les investissements constants engagés par la municipalité pour développer des infrastructures de qualité, organiser des événements de rayonnement local ou international et promouvoir la pratique d’activités sportives nombreuses, notamment au cœur des sites naturels de la Croix des Gardes, de la Californie, de la basse vallée de la Siagne et sur le littoral. Cannes démontre ainsi que le sport est bien plus qu’une activité : c’est un véritable mode de vie, un puissant moteur d’émancipation et un lien social majeur entre les habitants », souligne David Lisnard.
Hommage de David Lisnard aux défunts cannois pour la Toussaint
Comme chaque année à l’occasion de la Toussaint, David Lisnard a effectué sa traditionnelle tournée des cimetières cannois : l’Abadie I et II ainsi que le Grand Jas, afin de rendre hommage aux disparus et saluer le travail des équipes chargées de leur entretien.
Attaché à la préservation des lieux de mémoire, David Lisnard rappelle que « le respect des morts et des générations précédentes constitue la base d’une civilisation ». Depuis son élection, il a lancé un plan cimetière visant à garantir un entretien exemplaire tout au long de l’année, malgré les contraintes réglementaires et environnementales.
Il a souligné que l’hommage aux générations passées relevait à la fois de la dignité collective et de l’intimité personnelle, évoquant sa propre famille inhumée au Grand Jas : « Les honorer, c’est aussi honorer notre civilisation et nos vies. »
Ces propos sont extraits de la vidéo hebdomadaire que David Lisnard partage sur ses réseaux sociaux, où il évoque chaque semaine les actualités locales et les actions municipales menées à Cannes.