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Un homme sincère,
fidèle à ses racines

 

L’été, à Cannes, dès l’âge de 16 ans, il effectue des « petits boulots » pour financer ses études et assumer son autonomie. Après avoir effectué son Service National, il collabore à plusieurs journaux pour lesquels il rédige des articles. Dans le même temps, il dispense des cours à des prépas HEC et Sciences Po.

Très tôt passionné par la politique, il est recruté en 1996 par Jacques Pélissard, député-maire de Lons-le-Saunier, alors vice-président de l’Association des Maires de France, comme directeur de cabinet et attaché parlementaire. Cette expérience confirmera son goût pour la chose publique et le service d’une communauté humaine.

En 1999, David Lisnard revient à Cannes, dans sa ville, où il assure la gérance du commerce familial et travaille à la Fondation Sophia-Antipolis. Il prend part à l’aventure municipale dans la perspective des élections de 2001. Il est alors élu adjoint au maire.

David Lisnard descend d’une très ancienne famille cannoise ayant contribué à la vie de la commune. Son arrière-grand-père, Léon, alors entrepreneur dans la rue Mimont, a construit le marché Forville en 1934.

Ses grands-parents, Suzanne et Raymond, tenaient l’hôtel « Le Soleil d’Azur », rue Louis Blanc. Son père, Denis, a débuté sa carrière de footballeur professionnel à l’AS Cannes.

Après des études secondaires au lycée Carnot, David Lisnard obtient son baccalauréat au lycée Bristol. Il s’engage alors en Sciences Politiques à Bordeaux puis à Paris dont il sort diplômé en 1992.

Un maire pragmatique, gestionnaire, protecteur des contribuables

Dans toutes ses responsabilités, David Lisnard poursuit l’objectif de construire l’avenir tout en protégeant les contribuables.

Fort de son expérience de chef d’entreprise et de son expertise de gestionnaire (il tiendra notamment un petit commerce jusqu’en 2016), David Lisnard est sollicité en 2008 pour prendre la présidence de Service Public 2000, cabinet de conseil et d’audit aux collectivités locales. Durant quatre ans, il réorganise et renforce la structure pour en faire aujourd’hui un leader de la performance publique au service des institutions décentralisées.

Homme de dossiers, David Lisnard est aussi et surtout un homme de terrain, ancré dans les réalités de la vie locale : on le croise d’ailleurs régulièrement dans nos rues, y compris très tôt le matin, en train de vérifier l’entretien des espaces publics et le travail des agents. En 2008, il crée une délégation municipale du cadre de vie afin de lutter contre tout ce qui nuit à la tranquillité publique et rapprocher les services de la collectivité des habitants. L’objectif est clairement d’être à l’écoute des habitants et d’apporter des réponses concrètes et rapides aux problématiques soulevées, avec un suivi personnalisé et permanent.

Élu conseiller général des Alpes-Maritimes la même année, avant de prendre la Vice-Présidence du Département en 2014, David Lisnard défend les dossiers cannois au sein de l’assemblée départementale et obtient des garanties pour soutenir la réalisation des projets municipaux. En 2015, le président du Département des Alpes-Maritimes lui confie la présidence du Comité Régional du Tourisme dont il fait une marque territoriale de référence Côte d’Azur France, créant une vraie synergie avec les professionnels pour proposer une offre culturelle, événementielle et sportive attractive pour attirer de nouveaux flux positifs de visiteurs et renforcer ainsi le territoire azuréen. Il quitte son poste de président du CRT Côte d’Azur France le 13 janvier 2022.

 

Très tôt passionné par la politique, il est recruté en 1996 par Jacques Pélissard, député-maire de Lons-le-Saunier, alors vice-président de l’Association des Maires de France, comme directeur de cabinet et attaché parlementaire. Cette expérience confirmera son goût pour la chose publique et le service d’une communauté humaine. En 1999, David Lisnard revient à Cannes, dans sa ville, où il assure
la gérance du commerce familial et travaille à la Fondation Sophia-Antipolis. Il prend part à l’aventure municipale dans la perspective des élections de 2001. Il est alors élu adjoint au maire.

Puis, il assume la présidence de la Société d’Exploitation du Palais des Festivals et des Congrès (SEMEC), au cours de laquelle il désendette totalement le Palais des Festivals et réduit de 42 millions d’euros la participation publique au chiffre d’affaires de la SEMEC, et celle du Syndicat Intercommunal chargé de la gestion de l’eau potable pour les communes alimentées par le canal de la Siagne (SICASIL). Fonctions qu’il assurera avec succès sans discontinuer durant treize ans, avec succès : en réalisant des aménagements structurants sur le réseau d’eau potable, qui ont permis de faire progresser le rendement de 69% à 85%, soit une économie de prélèvement de la ressource de 4,5 millions de m3 par an, et en faisant du SICASIL un pilote en matière d’énergies renouvelables, par l’installation de générateurs photovoltaïques sur 10 sites de production et de stockage d’eau potable, programme qui a été complété par la mise en œuvre de 5 microcentrales hydroélectriques réparties sur le réseau de distribution, avec ses micro-turbines dans les canalisations d’eau, ce qui était alors une première européenne. Dès le début des années 2010, David Lisnard lance un programme pionnier de réutilisation des eaux usées, qu’il mena à son terme après 10 années de lutte contre la bureaucratie d’État.

Un maire solide, fiable et proche, qui tient ses engagements et fait face à l’imprévu. Nourri de ces expériences, fort de ses résultats, porteur d’une nouvelle énergie pour Cannes, David Lisnard est élu maire de la ville en 2014. Durant les six années écoulées, il confirme sa rigueur de gestionnaire, la fiabilité de sa parole, le respect de ses engagements. Il met immédiatement en place une orthodoxie financière qui bénéficie aux foyers cannois. Il parvient à réduire la dette de la commune de 65 millions d’euros depuis 2014, une baisse inégalée dans l’histoire de la commune. Il fait réaliser 43,2 millions d’euros d’économies sur le fonctionnement de la mairie tout en maintenant une haute qualité du service public. Il réalise en moyenne chaque année 58
millions d’euros d’investissement pour concrétiser le projet de mandat et améliorer concrètement la qualité de vie des habitants dans tous les quartiers, sans jamais augmenter les taux communaux d’imposition. La trajectoire financière de la mairie de Cannes est saluée à plusieurs reprises par la Chambre Régionale des Comptes et l’audit Localnova adresse même la note de 19/20 à cette gestion financière exemplaire.

Dans la nuit du 3 octobre de la même année, la commune est frappée par un phénomène météorologique historique. Le soir même, David Lisnard prend la direction des opérations en déclenchant le plan de sauvegarde de la commune pour sécuriser au plus vite les personnes, organiser les secours, aller au contact des habitants sinistrés et leur venir en aide concrètement, nettoyer et réparer le domaine public. Une expérience qui a profondément marqué, humainement et moralement, David Lisnard qui reconnaît « un avant et un après intempéries ». Il fédère alors les communes du bassin versant, la communauté d’agglomération, le Département et l’Etat dans une démarche partagée du risque d’inondation. Il développe sur la commune de nouveaux dispositifs d’alerte à la population et de nouvelles méthodes pour renforcer la rapidité et la performance communale dans la gestion de crise.

Cette recherche de cohésion territoriale s’inscrit dans la durée alors que David Lisnard prend la présidence de la communauté d’agglomération Cannes-Lérins en 2017. Il y applique alors les mêmes exigences qu’à la mairie de Cannes : pas de fiscalité additionnelle et des projets qui renforcent le développement économique, la formation et l’emploi, l’aménagement urbain au service de la qualité de vie des habitants de Cannes, Le Cannet, Mandelieu-La Napoule, Théoule-sur-Mer. Une vision qu’il propose d’étendre à l’ensemble de l’ouest des Alpes-Maritimes en créant un pôle métropolitain « Cap Azur » avec les présidents des intercommunalités Alpes d’Azur, Antibes-Sophia Antipolis et  Pays de Grasse afin de travailler ensemble sur un schéma de cohérence territoriale et de coopération dans les domaines tels que l’aménagement et l’urbanisme, les transports en commun, la gestion des déchets…

La dynamique dans laquelle David Lisnard a entraîné la ville de Cannes, sa compétence de gestionnaire confirmée par les résultats budgétaires salués par la Chambre Régionale des Comptes en 2018, sa capacité à imaginer la ville de demain avec les potentialités et les risques des nouvelles technologies, sa défense du modèle républicain de communes libres et souveraines, face à un Etat de plus en plus pesant et restrictif, l’amènent à la vice-présidence des Maires de France (AMF) dont il devient également porte-parole en 2017. Au sein de l’association des édiles français, David Lisnard plaide notamment pour un passage à l’acte III de la décentralisation afin de renforcer et rapprocher la prise de décision au plus près des habitants.

La même année, il est élu vice-président du comité des Finances Locales qui a pour fonction de répartir le montant des dotations de l’État aux collectivités.

Fort d’un bilan incontestable, il est réélu Maire de Cannes en mars 2020 avec 88,08 des suffrages exprimés dès le premier tour, ce qui fait de lui le maire le mieux élu de France.

Le 25 août 2021, David Lisnard annonce sa candidature pour pour la présidence de l’Association des Maires de France, première force représentative d’élus locaux du pays et plus grande association d’élus au monde. Il est élu avec plus de 62 % des suffrages le 17 novembre de la même année, lors de la 103e édition du Congrès des Maires et des Présidents d’intercommunalité de France.

 

Un homme politique d'action, engagé, au service de convictions fortes et fidèle à ses valeurs

S’il est avant tout un maire engagé au service de ses administrés, David Lisnard a toujours également fait valoir ses convictions sur des enjeux nationaux majeurs.

Le soir même de l’attentat islamiste contre Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015, il n’hésitait pas à brandir les caricatures incriminées sur la place de l’Hôtel de ville en rappelant que « la meilleure façon de répondre à ces assassinats, c’est d’affirmer nos valeurs républicaines à visage découvert ».

Il sera également le premier Maire de France à prendre un arrêté anti-burkini à la suite de l’attentat islamiste qui fit 84 morts à Nice le 14 juillet 2016. Le lendemain de l’assassinat de Samuel Paty en octobre 2020, il publie une tribune pour dénoncer « l’islamisme à bas bruit » qui se déploie sur l’ensemble du territoire et proposer des « mesures massives » pour lutter contre cette idéologie mortifère. Dans son quotidien de maire, il prend aussi, tout au long de son mandat, des mesures fortes : interdiction des créneaux horaires aménagés dans les piscines publiques et des repas confessionnels dans les écoles communales, élaboration d’une charte républicaine à destination de tous les agents municipaux.

Pressentant une crise sanitaire majeure, il met en place dès le 23 février 2020 une cellule de crise et d’anticipation réunissant les services de la mairie, de la communauté d’agglomération Cannes Lérins et du Centre Communal d’Action Sociale face à la progression du Covid-19 en Italie. Et alors que le 26 février,  le Directeur Général de la Santé affirmait qu’il n’y avait « pas de logique à porter un masque », grâce aux stocks constitués dans le cadre de la politique d’anticipation des risques majeurs mise en place depuis les dramatiques inondations de 2015, la mairie de Cannes a pu fournir en matériels de protection (masques, visières, gants, surblouses, etc.) dès début mars l’ensemble des agents communaux et intercommunaux maintenus en activité présentielle et au contact direct du public, les personnels soignants de l’hôpital de Cannes, les médecins de ville et les différents professionnels de santé mais aussi nombre d’agents de l’État totalement démunis, à l’instar des policiers du commissariat central de Cannes ou des fonctionnaires du tribunal. Parallèlement, David Lisnard incitera à la création d’une Manufacture
de Masques En Réseau Cannois Individuels (MMERCI) dans le but d’équiper tous les Cannois en masques aux normes AFNOR. Plus de 130 000 masques seront ainsi distribués.

Ce même mois de mars, il décide d’ouvrir un second centre d’accueil pour les personnes sans domicile fixe au Palais des Festivals et des Congrès.

Ayant conscience des ravages économiques que ne manquera pas d’occasionner le confinement décidé par le gouvernement, il réclame dès le 14 avril 2020 un « plan Marshall pour le tourisme ».

 

Bâtir une Nouvelle Espérance pour la France

Conscient des problématiques de notre pays, de son déclassement éducatif, de son délitement régalien et de son déclin économique, David Lisnard décide, le 9 juin 2021, de déployer son parti (créé en 2013) à l’échelle nationale, pour faire converger les nouvelles énergies du pays autour d’un projet fort, conçu autour de la liberté entrepreneuriale, la créativité, la lutte contre la bureaucratie, la croissance écologique et la fierté de notre culture française. Des groupes de travail sont réunis et livrent une première note en août 2021. Parallèlement, Nouvelle Énergie se déploie dans de nombreux départements français. « La France doit être le pays de la qualité de vie : par ses paysages, sa créativité, l’énergie de sa jeunesse et l’expérience de ses anciens. Cette espérance passera par une méthode et trois objectifs : celui de retrouver de la performance publique, celui de faire de la liberté une valeur absolue pour générer de la prospérité et celui de retrouver l’unité de la nation, une concorde nationale » précisait David Lisnard lors d’un meeting réunissant 800 personnes à Saint-Raphaël, jeudi 2 mars 2023. 

Un père de famille aux valeurs assumées, un esprit sain dans un corps sain

Âgé de 53 ans, David Lisnard est père de trois enfants. Installé en plein cœur de la ville, dans le quartier République-Gallieni, il est ancré dans les réalités de la vie locale. Sportif, David Lisnard court (notamment les marathons), nage, boxe mais cultive aussi un esprit curieux qu’il nourrit de littérature, de magazines et de presse quotidienne. David Lisnard lit beaucoup et il écrit aussi. Il est notamment co-auteur du livre Refaire communauté, pour en finir avec l’incivisme publié en 2018 et du livre La culture nous sauvera, publié en 2021.


Attaché à l’identité de Cannes, enracinée dans la tradition provençale et ouverte sur le monde par la Méditerranée, David Lisnard croit aux valeurs d’intégrité, du travail, de l’effort et du mérite qui donnent du sens à la vie et permettent l’épanouissement des individus par le dépassement des prérequis.

 

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