Sur la butte de Saint-Cassien, à partir de 19h, Nouvelle Énergie organise son grand moment de rentrée autour de son président, entre clarté, responsabilité et convivialité.

L’équipe de Nouvelle Énergie vous convie à la rentrée politique de David Lisnard, le samedi 30 août 2025 à 19h, sur le site emblématique de la butte de Saint-Cassien à Cannes (06150). Un moment attendu chaque année pour réfléchir ensemble, dans un cadre chaleureux, aux grandes orientations à venir.

Un rendez-vous d’engagement et de convivialité

Comme chaque année, cette soirée marquera la reprise politique autour de prises de parole, d’échanges directs et de perspectives d’avenir, portés par David Lisnard dans l’esprit qui guide son action : lucidité, exigence, proximité.

🍴 Dîner sur place : deux options

Vous aurez la possibilité de dîner sur place dans une ambiance détendue et militante :

👉 Composition du plateau-repas :

Coleslaw chou-carottes aux raisins, petits farcis végétariens et pâtes au pesto rosso, comté, et en dessert : moelleux pomme-amande, brookie aux noix, moelleux citron-pavot.

🗓️ Date limite pour commander un plateau-repas : lundi 18 août

🍷 L’apéritif sera offert par les bénévoles de Nouvelle Énergie.

📌 Informations pratiques

Un moment fort, fidèle à l’esprit de clarté, responsabilité et engagement collectif porté par David Lisnard et son mouvement Nouvelle Énergie.

🔗 Inscrivez-vous dès maintenant et réservez votre panier-repas si souhaité. Nous vous attendons nombreux pour cette rentrée politique placée sous le signe de l’action et de la transmission.

Mardi 24 juin, David Lisnard s’est rendu à Angers à l’invitation de Stéphane Piednoir, sénateur du Maine-et-Loire et relai de Nouvelle Énergie dans le département. Il a d’abord échangé en petit comité avec les adhérents du mouvement sur les défis locaux et les grandes priorités nationales puis a tenu une réunion publique devant plus de 250 personnes.

« Je suis d’abord un père de famille. Et je ne veux pas que mes enfants vivent dans un pays où règne la violence ou l’insécurité culturelle. Je veux leur transmettre une France forte, libre, sûre, fidèle à ses principes républicains, où l’on peut s’émanciper par l’effort et la responsabilité. Un État qui frappe les honnêtes citoyens et excuse les voyous est un État injuste. Il est temps de restaurer une autorité claire : que chacun soit responsable de ses actes et que les sanctions soient effectives. Il faut restaurer une école de la transmission : une instruction rigoureuse, des programmes clairs débarrassés des scories idéologiques, des enseignants reconnus. L’école doit instruire, pas endoctriner. Chacun son rôle : aux familles d’éduquer, à l’école d’instruire.

« La France détient le record mondial des dépenses publiques et des impôts, mais aussi celui de la défaillance des services essentiels. C’est le signe d’un système épuisé par la bureaucratie. Nous ferons 200 milliards d’économies, non pas pour faire mal, mais pour mieux investir : dans l’école, la santé, la sécurité. La propriété, c’est la condition de la liberté. Pourquoi se lever, travailler, prendre des risques si l’on ne peut rien posséder, rien transmettre ? Toutes les sociétés qui ont bafoué la propriété ont sombré dans le totalitarisme et la pauvreté. La propriété, ce n’est pas l’égoïsme : c’est la dignité, c’est la projection dans l’avenir, c’est le moteur de la prospérité collective. L’extrême gauche, ce sont les passions tristes. Derrière des discours humanistes se cache un fond totalitaire : le refus de la responsabilité individuelle, l’assignation identitaire, la haine de la réussite et le rejet de la liberté. C’est une menace réelle pour notre démocratie, d’autant plus dangereuse qu’elle se pare des habits de la vertu.

« L’espérance suppose des efforts, de la rigueur. On ne construit rien sur la nostalgie. On avance en regardant le réel en face, pas en fantasmant un passé idéalisé. La France est une promesse. Une espérance. Ce pays, plein de talents et de diversité, mérite un projet à la hauteur de son histoire. Pour cela, nous devons lui redonner une nouvelle énergie, portée par la lucidité, le travail et l’ordre républicain » David Lisnard.

Après la santé dans les Hauts-de-Seine et à Paris, l’agriculture dans le Val-de-Marne et les Pyrénées-Orientales, la sécurité dans l’Hérault, David Lisnard s’est rendu les 12 et 13 juin dans les Landes et en Gironde pour évoquer les enjeux de la décentralisation, dans le cadre de ses déplacements thématiques.


Après avoir inauguré le Carrefour des collectivités des Landes avec le maire de Mont-de-Marsan, Charles Dayot, le président de Nouvelle Énergie a participé à une rencontre avec les adhérents et sympathisants du parti, organisée par son relai départemental, Hicham Lamsika.

David Lisnard s’est ensuite rendu à Arcachon, à l’invitation du maire Yves Foulon. Près de 650 personnes étaient réunies au Théâtre l’Olympia pour entendre ses propositions en matière de décentralisation, par la réforme de l’État et la simplification normative et fiscale. Organisée par nos relais venus de toute la région, la réunion publique s’est conclue par une séance de dédicaces de son dernier ouvrage, Ainsi va la France. 

Accueilli le lendemain à Talence (Gironde) par le maire Emmanuel Sallaberry, David Lisnard a visité plusieurs structures « quartier prioritaire de la politique de la ville » dans le quartier Thouars. Auprès des acteurs de terrain, dévoués face aux difficultés sociales et en dépit des lourdeurs administratives, le président de Nouvelle Énergie a rappelé à quel point la commune reste l’échelon pertinent pour une action publique efficace. 

Le déplacement s’est conclu à Pompignac, dans le vignoble de l’Entre-deux-Mers, où David Lisnard a visité une exploitation viticole, accompagné du relais de Gironde, Laurent Toussaint, et de l’expert agriculture du projet, Yves d’Amécourt. Une table ronde réunissant des représentants de la filière viticole a permis de mettre en lumière les obstacles communs à de nombreux secteurs d’activité : des lourdeurs bureaucratiques qui freinent, bloquent, coûtent cher et épuisent.

« La décentralisation est devenue un mot creux, alors même que l’État continue d’asphyxier la société par la prolifération de normes et une recentralisation inédite. Il est temps de rendre à ceux qui font, élus de terrain, entrepreneurs et citoyens, leur liberté d’agir », déclare David Lisnard.

« Ignorer ce que fut la déportation, ce que furent les camps, ce que fut l’anéantissement méthodique de millions d’êtres humains au cœur du XXe siècle européen, n’est pas une simple lacune. C’est une faute morale.

Une faille civique. Une brèche par laquelle le Mal peut à nouveau se glisser. Notre cérémonie d’aujourd’hui n’est pas seulement une commémoration. Elle est un rappel fondamental à la responsabilité, à la lucidité et à la vigilance. Elle est une exigence politique, morale, presque civilisationnelle. Comme surent le démontrer avec lucidité, courage et sacrifice les Justes, auxquels nous devons l’éternelle gratitude d’avoir sauvé l’honneur de l’humanité. Ce que les déportés ont traversé, ce n’est pas seulement l’effondrement de la dignité humaine, c’est la mise en ruine de tous les repères moraux, intellectuels et spirituels sur lesquels reposaient notre civilisation. Le Mal a une histoire funeste. Il a aussi une actualité. Et il appelle une réponse. Il vient des formes nouvelles, souvent sournoises, parfois bruyantes, que prend la volonté d’effacer notre mémoire, de diviser notre société, de fracturer la civilisation. A Cannes nous assumons de dire que toutes les valeurs et toutes les actions politiques ne se valent pas : celles qui détruisent, oppriment, interdisent ne sont pas l’égal de celles qui cherchent, qui doutent, qui libèrent. » David Lisnard.

Une foule nombreuse s’était rassemblée sur la promenade Charles-Aznavour pour rendre un hommage empreint d’émotion et commémorer, dans le recueillement, la mémoire des 1,5 million de victimes du génocide arménien de 1915.

Lors de cette cérémonie, David Lisnard a également inauguré l’Allée Missak et Mélinée Manouchian, en hommage à ces figures arméniennes de la Résistance française, qui ont fui le génocide de 1915.

Katia Guiragossian, la petite-nièce du couple Manouchian, des membres de l’Union des Arméniens de Cannes et des environs et Alain Terzian étaient notamment présents.

David Lisnard est revenu sur le rôle de l’Etat lors du colloque de L’IREF.

Un événement essentiel pour briser les tabous, échanger et faire avancer la cause de la santé mentale, organisé par Le Psychodon, S.O.S Amitié, avec le soutien de l’Association des Établissements participant au service public de Santé Mentale.

« Cannes a été proactive depuis très longtemps. Dès 2014, nous avons créé une commission extra-municipale comportant un prisme santé mentale. En 2018, nous avons lancé un conseil local de santé mentale, renforcé en 2023. En 2023, nous avons ouvert une permanence psychologique bi-hebdomadaire au Bureau d’Information Jeunesse de Cannes. Nous menons aussi des actions de prévention aux addictions aux écrans, usage des smartphones, réseaux sociaux… J’ai dernièrement décidé de créer une structure d’accueil et d’hébergement pour les enfants-adolescents, sans condition de revenus. Cela peut être un maillon supplémentaire pour prédiagnostiquer des troubles mentaux.

Prendre soin de la santé mentale, c’est prendre soin du quotidien de chacun. Je souhaite que Cannes devienne la capitale française de la réflexion et de l’action en santé mentale. Nous accueillerons le Congrès français de psychiatrie en décembre. » David Lisnard.

David Lisnard est revenu sur les grands enjeux du pays – éducation, sécurité, finances, écologie, compétitivité – et a dévoilé ses pistes et propositions pour redresser le pays : « il faut libérer l’acte entrepreneurial des surcharges bureaucratiques et juridiques. La propriété est la condition de la prospérité. Depuis 20 ans, les atteintes à le propriété se multiplient ».

David Lisnard s’est rendu cette semaine au Marché international de Rungis puis dans les Pyrénées-Orientales, à la rencontre des professionnels du monde agricole, dans le cadre de ses déplacements thématiques mensuels.

Accompagné de Geoffroy Boulard (maire du 17e arrondissement de Paris) et Vincent Jeanbrun (député du Val-de-Marne), le président de Nouvelle Energie était d’abord présent à Rungis ce 19 mars, dès 4h du matin, où il a été accueilli par le président du marché, Stéphane Layani. Deux experts des groupes de travail sur l’agriculture de Nouvelle Energie, Angélique Delahaye et Thierry Moisy, ainsi que le maire de Rungis, Bruno Marcillaud, étaient également présents. La visite de près de six heures a donné lieu à de nombreux échanges avec les professionnels du plus grand marché agricole au monde.

Le 20 mars, à l’invitation de la sénatrice Nouvelle Énergie Lauriane Josende, David Lisnard s’est ensuite rendu dans les Pyrénées-Orientales. Lors d’un déjeuner à Perpignan, il a pu échanger avec des élus venus de tout le département autour de constats unanimement partagés, notamment sur la nécessité de rompre avec quarante ans de social-étatisme. La journée s’est achevée par la visite de l’exploitation arboricole de Denis Basserie à Rivesaltes, doublement touchée par la sécheresse et les difficultés administratives qui la rendent vulnérable.

Ces deux jours de rencontres fructueuses, comme la récente visite de David Lisnard au Salon international de l’agriculture, lui ont permis de confronter ses idées à la réalité du terrain et d’en évaluer la mise en pratique, afin d’alimenter son projet pour la France.

Nouvelle Énergie présentera prochainement les propositions détaillées de David Lisnard en matière d’agriculture.

Pour la Journée internationale des droits de femmes, à Paris comme à Cannes, dans les permanences de Nouvelle Énergie, des témoignages forts et poignants de femmes se battant pour les libertés les plus fondamentales. Celles des femmes en France et dans le monde, que ce soit en Iran, en Afghanistan, ou lors des attaques terroristes islamistes du 7 octobre 2023.