À chaque 15 août, Cannes commémore à la fois l’Assomption et une page sombre de son histoire : l’exécution de huit résistants par la Gestapo à la Villa Montfleury en 1944. David Lisnard a rendu hommage à ces héros, et en particulier à Hélène Vagliano, figure cannoise de la Résistance, symbole du courage et du refus de la soumission.

La mémoire des fusillés de la Villa Montfleury
Le 15 août 1944, alors que Cannes vivait sous occupation allemande, huit résistants étaient sommairement fusillés à la Villa Montfleury, réquisitionnée par la Gestapo. Leur sacrifice rappelle le prix payé par celles et ceux qui choisirent de dire non à l’oppression et à la barbarie nazie.
« À travers eux, nous honorons l’engagement et le sacrifice de celles et ceux qui ont refusé la soumission, au péril de leur vie », David Lisnard.
Hélène Vagliano, héroïne cannoise de la Résistance
Parmi ces figures, celle d’Hélène Vagliano reste gravée dans la mémoire collective. Arrêtée à seulement 23 ans, torturée pendant deux semaines sans jamais dénoncer ses camarades, elle fut exécutée le 15 août 1944 avec 22 autres résistants à l’Ariane.
Son engagement clandestin au sein du Bureau central de renseignements et d’action et son rôle dans le réseau Tartane-Masséna témoignent d’une détermination exemplaire.
Son héroïsme lui a valu d’être reconnue Chevalier de la Légion d’honneur, Médaillée de la Résistance et titulaire de la Croix de guerre avec palme. Aujourd’hui, une école et une rue de Cannes portent son nom, perpétuant ainsi sa mémoire.
Une mémoire vivante pour l’avenir
« Il est de notre devoir de faire vivre la mémoire de ces héros, dont le destin a croisé l’Histoire, et qui nous rappellent que la liberté n’est jamais acquise », David Lisnard.
En rappelant chaque année le sacrifice des fusillés de Montfleury et d’Hélène Vagliano, Cannes entretient une mémoire active : celle qui éclaire notre présent, nourrit notre vigilance et nous engage à défendre sans relâche les valeurs de liberté, de dignité et de courage.

Jeudi 7 août 2025, David Lisnard, a présenté le nouveau dispositif d’autoconsommation collective (A.C.C.) photovoltaïque mis en place sur les toitures de la médiathèque Ranguin et de l’école Saint-Exupéry.
Plus de 400 panneaux solaires ont été installés dans le cadre de cette opération ambitieuse, qui permettra une production d’électricité annuelle de 230 MWh. Cette énergie verte et renouvelable alimentera directement ces deux bâtiments publics, mais aussi cinq autres sites voisins : la crèche Les Elfes, les groupes scolaires Frédéric Mistral et Marcel Pagnol, le gymnase Ranguin et le Cannes Tennis Garden. Cela représente 30 % de la consommation électrique totale de ces établissements.
Ce projet s’inscrit pleinement dans le Plan Énergie lancé dès 2014 par David Lisnard, qui vise à faire de Cannes une ville exemplaire en matière de transition écologique, de sobriété énergétique et de lutte contre le réchauffement climatique.

Les objectifs sont clairs :
– Défendre le pouvoir d’achat des contribuables et des usagers ;
– Contribuer à renforcer l’autonomie énergétique locale ;
– Réduire les émissions de gaz à effet de serre ;
– Maîtriser les coûts énergétiques ;
– Améliorer la qualité de vie des habitants ;
– Agir concrètement pour l’avenir des générations futures.
Cannes confirme son engagement pour une écologie de terrain, efficace, réaliste et durable, en développant des projets structurants qui allient performance énergétique et bon sens économique.

A l’aube de la saison estivale, la Ville mène différentes actions, elle appelle les habitants à la vigilance.


David Lisnard et Thierry Frémaux, Délégué Général du Festival de Cannes, ont dévoilé le premier module du Musée International du Cinéma, qui sera dédié au plus grand événement culturel au monde. Le Maire de Cannes est revenu sur ce Parisianisme qui empêche trop souvent le développement de projets culturels hors-Paris : « Le ministère de la Culture dépense en moyenne 801 euros par habitant parisien contre 24 euros par habitant de la province… ». A lire via Le Point.

« Lisnard se revendiquant libéral sans aucun complexe, il cautionne la « libre Responsabilité » autrement dit, la valeur cardinale qui doit permettre de choisir, comme on le verra, les meilleures solutions pour notre adaptation » : retrouvez l’article que Contrepoints a consacré à David Lisnard.

La transition énergétique, en actes.
EXCLUSIF. Le maire de Cannes, qui vient de rallier Bruno Retailleau dans la bataille de LR, retrace dans son dernier livre, très cash, ses pistes pour redresser le pays.

Son objectif : « construire une alternative ». « Je prépare pour cela un projet radical, c’est-à-dire complet et qui va à la racine des choses », écrit sans fard David Lisnard dans son nouvel ouvrage, Ainsi va la France, aux éditions de l’Observatoire, en librairie le 12 mars. Compilation de ses tribunes parues dans la presse, essentiellement chez nos confrères de L’Opinion, agrémentées de réflexions nouvelles, ce « manifeste libéral » se veut un remède de cheval pour une France en « déclassement rapide et vertigineux ». Finalement, une ébauche de programme qui ne dit pas son nom. Car l’Élysée en 2027, le héraut du libéralisme y songe visiblement très fort, lui qui plaide pour une large primaire de la droite et du centre, allant de Gabriel Attal à Éric Zemmour.
On retrouvera dans ces pages les marottes du patron de Nouvelle Énergie sur « l’Absurdistan » bureaucratique et l’« État nounou » devenu « obèse », ainsi que ses propositions fétiches : « ramener les dépenses publiques sous les 50 % du PIB en dix ans » pour générer 200 milliards d’économies… par an ; une « réduction drastique de l’immigration » pour s’adapter « aux besoins économiques » et « une véritable politique assimilationniste » ; un alignement progressif du statut des fonctionnaires sur celui du privé ; une « économie écologique de marché » qui ne cède pas « aux nouveaux fascistes verts », comme l’a fait, selon lui, Emmanuel Macron en fermant Fessenheim.
On se délectera aussi de ses piques sur ces députés « dont l’insoumission aux règles de respect des autres est proportionnelle à la vacuité de la pensée » et « qui pensent que pour être près du peuple […], il faudrait être débraillé et grossier ». Le patron de l’Association des maires de France (AMF), qui s’est engagé auprès du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau dans la bataille pour la présidence des Républicains, renonçant à se porter lui-même candidat, achève son livre sur ces mots empruntés à Alexis de Tocqueville le 27 janvier 1848 : « La classe qui gouvernait alors était devenue, par son indifférence, par son égoïsme, par ses vices, incapable et indigne de gouverner. » Cinglant. Extraits exclusifs pour Le Point.
La folle dissolution
« Quelle mouche a donc piqué le président de la République lorsqu’il a décidé de dissoudre l’Assemblée nationale ? Et de décréter la durée de campagne législative la plus courte possible ? Rien, mais vraiment rien, ne l’imposait, et il fallait ne rien comprendre, mais vraiment rien, au pays, ne rien ressentir de l’état d’esprit général, pour penser que ce scrutin verrait émerger une nouvelle majorité présidentielle ou même une majorité tout court. Les élections européennes ont très souvent vu le camp majoritaire s’effondrer, les grands partis à la peine (Nicolas Sarkozy en 1999, non sans panache, s’en souvient encore), la victoire de partis de contestation – soit le Front national, soit les écologistes – et après un pareil scrutin, le président continue de présider, le gouvernement de gouverner et le Parlement de voter des lois […]. La grenade dégoupillée lancée par le président est retombée à ses pieds comme dans un cartoon de Tex Avery. Hélas, l’état de la France, de ses finances publiques, de son enseignement, de sa sécurité, de son industrie, de son système de santé, de son agriculture continue de s’enfoncer de façon dramatique. Et même nos si précieuses institutions de la Ve République en arrivent à être remises en cause par ceux dont l’incompétence et l’accumulation de mauvaises décisions les affaiblissent. Le président de la République aura finalement réussi à faire tomber la France dans le régime de technocrates et le régime des partis. En même temps… »
Le nécessaire réveil européen
« Oui, notre démocratie est attaquée de l’extérieur par des régimes illibéraux, souvent dictatoriaux qui, tels l’Empire russe, l’Empire perse devenu en partie l’Iran, l’Empire ottoman devenu la Turquie, l’empire du Milieu c’est-à-dire la Chine, ont retrouvé leur réalité reptilienne donc leur visée expansionniste. Ils ont comme ciment commun des intérêts commerciaux et géostratégiques ainsi qu’un discours portant à la fois une vision dégradante des démocraties libérales, présentées comme dégénérées et décadentes, et le ressentiment d’une grande partie de la planète à l’égard d’un Occident qui domine le monde depuis la Renaissance. Nous sommes à un basculement. Il faut l’analyser et projeter une nouvelle ambition pour les démocraties, à la fois ferme, claire et respectueuse de chaque continent, de chaque nation, de chaque peuple ; et des nouveaux rapports de force géopolitiques. Dans ce monde de moins en moins organisé autour de principes et du droit, l’Europe doit se réveiller et raisonner en levier de puissance, et non en simple régulateur. L’évolution des États-Unis d’Amérique doit également nous y inciter vigoureusement. La faiblesse ne sera pas respectée. »
L’« ensauvagement » des mineurs
« Il faut changer de braquet et de paradigme : l’âge ne peut plus être un bouclier contre la responsabilité de ceux qui brisent des vies et font régner la terreur dans leurs établissements scolaires ou dans leurs quartiers. Aussi, abaisser l’âge de la majorité pénale à 16 ans n’est plus une option. C’est devenu une impérieuse nécessité ainsi qu’une mesure de justice équitable, dès lors que l’acuité du discernement commande de répondre pleinement de ses actes. […] Cet abaissement de la majorité pénale doit être au cœur de la nécessaire évolution du Code de la justice pénale des mineurs pour l’adapter à la réalité. Mais cette mesure ne saurait être la seule. En plus de celle-ci, la levée de l’excuse de minorité dès l’âge de 13 ans dans les cas les plus graves, la réduction de l’excuse de minorité à 20 % de la peine encourue, la demande de justification du maintien de l’excuse de minorité par les juges, l’instauration et l’effectivité de très courtes peines de prison dès la première infraction, l’accélération des procédures, mais aussi la création d’internats disciplinaires pour continuer d’accompagner les jeunes dans leur parcours éducatif, dans un cadre approprié, nous paraissent être des mesures essentielles. »
Une part de retraite par capitalisation
« Ne rien faire serait accepter que le niveau de vie des futurs retraités soit déprécié, comme l’analyse le COR [Conseil d’orientation des retraites, NDLR] qui estime que le taux de remplacement moyen va aller en diminuant, passant de 50 % aujourd’hui à 45 % en 2040, jusqu’à moins de 40 % à partir de 2055 […]. Agir pour les jeunes générations, c’est faire en sorte que celles-ci aient confiance en l’avenir et que la parole de l’État soit fiable. C’est pourquoi, au-delà des ajustements paramétriques, il est temps de changer d’approche et d’instaurer un étage de retraite par capitalisation, tout en conservant un premier étage par répartition qui garantisse un socle minimal de pension autour de 1 200 euros mensuels. Le financement serait vertueux et de plus en plus léger pour l’État. La part de capitalisation serait abondée par le transfert d’une part des cotisations salariales et patronales. La transition pour parvenir à un système deux tiers de répartition et un tiers de capitalisation se ferait par tranches avec en amorçage un investissement public temporaire et décroissant […]. C’est ce type de capitalisation collective qui doit servir de modèle et être généralisé au secteur privé. Par ailleurs, notre croissance, tout comme notre indépendance dans des secteurs clés de l’économie du futur, passe par le développement de fonds propres. Grâce au développement de fonds de pension français, il serait possible de financer la transition écologique et la transition numérique dont la France doit et pourrait ainsi devenir un acteur majeur et souverain. »
L’IA oui, mais « maîtrisée »
« Les possibilités de fabrication immédiate et accessible à tous d’images fictives de personnes célèbres sont aussi distrayantes que potentiellement dangereuses pour la démocratie. L’utilisation de Grok sur le réseau social X en témoigne. Vous pouvez partager une image de Trump allant à la pêche avec le pape ou d’une attaque militaire de n’importe quelle ville. Or, il n’y a pas de liberté collective sans respect du réel admis comme vérité factuelle et non comme “ressenti”. Cette vérité doit être partagée par une majorité de concitoyens pour produire un minimum de “contrat social”. Il ne s’agit surtout pas d’interdire X ou de restreindre la liberté d’expression par la censure que proposent les faibles et les sectaires ; au contraire, il s’agit de défendre le pluralisme des médias et des réseaux sociaux, et parallèlement de renforcer l’esprit critique et scientifique. L’IA, inarrêtable et très souhaitable pour le progrès scientifique, pour trouver des solutions aux défis écologiques, lutter contre les maladies graves, améliorer la logistique urbaine, mieux travailler, nous faciliter nombre de tâches quotidiennes etc, doit impérativement être maîtrisée. La meilleure façon pour cela est d’une part de savoir la produire, donc pour la France et l’Europe de porter cette ambition scientifique et industrielle sans plus longtemps accepter d’être la colonie numérique des États-Unis et de la Chine. »
Retrouvez l’article complet sur le site du Point en cliquant ici.
Après le succès de ses vœux à Cannes le 25 janvier, David Lisnard, le président de Nouvelle Energie, a fait salle comble à Paris le 28 janvier avec pour mot d’ordre de faire gagner la liberté, la France et Nouvelle Energie. Retrouvez l’article Jean-Philippe Feldman paru sur le site de l’IREF.

Il y avait du beau monde à Paris le 28 janvier pour entendre les vœux de David Lisnard : une ministre, Sophie Primas, la porte-parole du gouvernement (même si François Bayrou en a pris pour son grade…), des anciens ministres, dont deux très impliqués dans Nouvelle Energie (Hervé Morin et Hervé Novelli), plus de 200 élus locaux, entre autres.
Après une présentation par la secrétaire générale du parti, la députée Alexandra Martin, et une allocution du directeur général, Romain Marsily, le clou de la soirée était évidemment le discours de David Lisnard. Un long discours de plus d’une heure et demie, mais qui a paru beaucoup plus court du fait du talent oratoire de celui qui est également le président de l’association des maires de France. Nous le synthétiserons sans en respecter l’ordre mais en reliant les passages qui doivent être reliés afin d’être aussi limpide que possible.
David Lisnard s’est une nouvelle fois revendiqué du libéralisme, et il en a décliné les thèmes et les principes : tandis que nous nous trouvons « au bout du système de l’État-providence » et « d’une caste dont les Français ne veulent plus », il souhaite un « État recentré sur ses missions », car « il faut en finir avec le régime technocratique et le social-étatisme ». Dès lors, « Que l’État retrouve sa vocation, non pas d’empêcheur de tourner en rond, mais de contrôleur au nom de l’ordre public ». « Seule la responsabilité individuelle est le gage de la justice et elle est liée à la propriété ». Pour que la France ait un destin, trois conditions doivent être remplies : « unité de la nation (ce qui ne signifie pas, on le verra, absence de décentralisation, bien au contraire), dignité individuelle, liberté individuelle ». Or, il se trouve que tous les hommes politiques actuels ont une « logique social-étatiste, de dépenses publiques, d’interventionnisme », que David Lisnard veut justement briser.
Le mot d’ordre de la soirée a été le verbe « gagner », car David Lisnard n’a nullement souhaité prononcer un discours défaitiste ou décliniste et ce, malgré le « déclassement accéléré » du pays. Au contraire, et sans verser dans le lyrisme, il a adopté un ton raisonnablement optimiste, pointes d’humour à l’appui. « La France a tout pour être un pays gagnant », a-t-il martelé, avant de conclure par un triptyque : « faire gagner la liberté, la France, Nouvelle Energie ». L’objectif, a-t-il joliment souligné, est de faire de notre nation le « symbole mondial de la qualité de vie ».
A cet égard, il a fixé trois objectifs : « Libérer la société, diriger l’État, garantir l’unité de la nation ». Immédiatement après, il a prononcé une phrase importante qui est peut-être passée inaperçue : « Tout le travail est dans le comment », ce qui lui a permis à la fois de donner la marche à suivre à son parti dans la perspective des prochaines échéances électorales et de se distinguer de ses rivaux, partagés entre l’immobilisme (la « godille sur place du Premier ministre », dont « l’éphémère stabilité ne doit pas être le nouveau ‘n’importe quoi qu’il en coûte’ »…) et l’incantatoire (« l’épiphanie libérale » d’Eric Ciotti…). Mais, comme de coutume, le maire de Cannes n’a pas voulu verser dans la « politique politicienne » et il a égrainé une série de réformes qu’il entendait porter. Nous n’en citerons que les plus emblématiques, celles qui font souffler un vent de fraîcheur dans la vie politique française : la retraite par capitalisation, la subsidiarité avec la « création d’une compétition entre les collectivités locales », la « libération de l’école » (annonce suivie d’un tonnerre d’applaudissements), une « économie écologique de marché » ou encore la suppression du principe de précaution de la Constitution.
Enfin, David Lisnard a confirmé qu’il souhaitait l’organisation de primaires « à droite et au centre » pour la prochaine élection présidentielle et qu’il serait évidemment candidat. Un candidat qui garderait « l’intégrité des idées et du projet », façonné par un parti ayant pour objectif de devenir sous 18 mois l’un des quatre premiers de France.
Retrouvez l’article sur le site de l’IREF en cliquant ici.

David Lisnard a annoncé sur ses réseaux sociaux l’organisation d’une session de formation à destination de tous les commerçants et professionnels du tourisme cannois pour les former à l’usage des cryptomonnaies pour les paiements.
« Il ne s’agit pas ici de juger du bien-fondé desdites cryptomonnaies ou d’en faire la promotion, mais simplement d’éviter que Cannes et les commerces locaux se privent d’une potentielle clientèle à forte capacité d’achats. Celles-ci sont déjà largement répandues dans certains pays mais encore marginales en France. L’objectif est de permettre, aux commerçants qui le souhaitent, de pouvoir optimiser ce potentiel et ainsi accroître leurs revenus.
Les commerçants et socioprofessionnels cannois sont ainsi conviés mardi 4 février, à 14h30, à une session de formation qui se tiendra au Palais des Festivals et des Congrès. Elle sera animée par des experts qui en détailleront de façon pédagogique les volets technique, juridique, comptable et fiscal et recommanderont les meilleures solutions actuellement disponibles sur le marché.
C’est d’autant plus pertinent que Cannes, triple championne du monde du tourisme pour l’organisation de festivals et événements, accueillera, du 30 juin au 3 juillet 2025, la 8ème édition de l’ Ethereum Community Conference (EthCC), le plus grand rassemblement annuel en Europe consacré à la blockchain Ethereum (plus de 6 500 accrédités pour un total de 10 000 participants en incluant 300 évènements parallèles). Ce sont donc autant de potentiels clients qui ont l’habitude de payer en cryptomonnaies qui seront dans notre cité.
Une carte recensant les commerces « crypto friendly » sera mise à disposition des accrédités de l’EthCC mais aussi rendue publique et actualisée régulièrement.
Cannes est en compétition avec les plus grandes destinations mondiales. Elle peut faire de ces nouvelles technologies un atout d’attrait supplémentaire et un levier de prospérité pour le commerce local, dont la défense et la valorisation est mon plus ancien combat. » David Lisnard

David Lisnard a présenté ses vœux aux représentants de l’Office Public de l’Habitat et de la Socaconam, « dans un contexte de crise structurelle du logement sévère, qui est à la fois une crise de l’offre et de la demande ».
« Une crise de l’offre à cause de toutes les contraintes établies depuis 25 ans qui ont tué le marché et une fiscalité pénalisante pour les propriétaires. Si on veut des locataires, il faut des propriétaires. Le marché a été asséché.
Une crise de la demande due à des problèmes de revenus, notamment pour les jeunes, et une raréfaction du crédit. Il y a eu un effondrement de 50% du prêt bancaire pour l’accès à la propriété, et de grandes difficulté d’accès au marché locatif.
Ajoutez à cela le DPE, qui fait que depuis 3 ans, à Paris, 40% du parc locatif privé n’est plus aux normes et sera donc retiré du marché. Ce sera un désastre humain. Pour les bailleurs sociaux, ce qui devait être l’exception, devient la majorité. 60% de la population française est éligible au logement social. C’est une folie.
Votre mission est essentielle. Il faut investir pour augmenter et améliorer le parc. Nous le devons aux contribuables et aux locataires. Cela nécessite aussi que les locataires soient de bons locataires. Et c’est toujours une minorité qui pourrit le groupe.
Je souhaite que nous puissions plus facilement expulser. Le logement social est un logement aidé par l’argent public. Il est impensable que des gens puissent profiter d’aide de la société et détruire la société. Cela se fait au détriment de l’immense majorité respectueuse » David Lisnard.