Le Palais fait tapis sur les économies d’énergie

En recouvrant près de 4000 m2 de toiture de peinture blanche, le Palais mise sur le « coolroofing » pour limiter la chaleur. Une étape de plus vers l’objectif de réduire de 60 % son empreinte carbone d’ici

Cannes le 29 août 2025
Palais
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Cannes inaugure le boulevard Winston Churchill, hommage à une figure de la liberté

À l’occasion du 81e anniversaire de la Libération de Cannes, David Lisnard a inauguré le boulevard Winston Churchill, voie totalement rénovée le long de l’Esplanade Pantiero. Une nouvelle étape dans la volonté de la Ville de rendre hommage aux grandes figures de la liberté et de la démocratie.

Cannes le 29 août 2025
Dénomination boulevard Winston Churchill HD 2 (c) Mairie de Cannes

Dimanche 24 août 2025, Cannes a célébré le 81e anniversaire de sa Libération en inaugurant une nouvelle voie emblématique : le boulevard Winston Churchill. Situé le long de l’Esplanade Pantiero, ce boulevard rénové et arboré, doté d’une piste cyclable et d’une voie dédiée au BHNS, porte désormais le nom de l’ancien Premier ministre britannique.

Winston Churchill séjournait régulièrement à Cannes, avant et après la Seconde Guerre mondiale, pour peindre le Vieux-Port, la mairie et le Suquet. Mais au-delà de sa passion artistique, il reste l’incarnation de la résistance britannique face à l’Allemagne nazie. Devenu Premier ministre en 1940, il a galvanisé son peuple pendant le Blitz grâce à ses discours puissants, renforcé l’unité des Forces Alliées et joué un rôle décisif dans la victoire de 1945.

Cette dénomination s’inscrit dans la continuité des initiatives portées par David Lisnard pour inscrire dans l’espace public les grands noms de la pensée et de la liberté. Le 27 juin dernier, la place Alexis de Tocqueville et le Cheminement des Penseurs avaient été inaugurés au cœur des Allées de la Liberté rénovées. Ce parcours rend hommage à douze figures majeures de la pensée politique et philosophique, parmi lesquelles Hannah Arendt, Albert Camus, Montesquieu ou encore Georges Orwell.

Avec le boulevard Winston Churchill, la Ville de Cannes poursuit son engagement à transmettre aux jeunes générations les principes républicains et les valeurs universelles de liberté, de responsabilité et de démocratie.

Dénomination boulevard Winston Churchill HD 2 (c) Mairie de Cannes
Dénomination boulevard Winston Churchill HD 4 (c) Mairie de Cannes
Winston Churchill peignant sur le port de Cannes, 1937 (c) Mairie de Cannes
Winston Churchill et Lloyd Georges à Cannes pour la conférence de la paix, janvier 1922 (c) MDC
Le port de Cannes - 1933 (c) Churchill Heritage
Orage sur Cannes - 1925 (c) Churchill Heritage
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« À Cannes, nous rappelons les valeurs de liberté en attribuant aux rues, bâtiments et ouvrages les noms de grandes figures et personnalités de l’Histoire qui l’ont défendue et promue. La place Alexis de Tocqueville, inaugurée fin juin, en est le plus récent exemple. Winston Churchill, régulièrement en visite à Cannes dans les années 1920 et Citoyen d’Honneur de la Ville de Cannes depuis 1949, incarne cet attachement indéfectible et exigeant à la liberté. Il s’est opposé avec force aux régimes totalitaires, notamment au nazisme. Durant la Seconde Guerre mondiale, il a su galvaniser le peuple britannique, l’exhortant à ne jamais céder face à Hitler. Ses discours ont nourri l’esprit de résistance et illustré son engagement profond en faveur des libertés fondamentales. La liberté n’est jamais définitivement acquise : elle est un combat constant. La situation de notre compatriote, le grand écrivain Boualem Sansal, détenu arbitrairement en Algérie depuis 280 jours, nous le rappelle douloureusement. Les femmes iraniennes, les Afghans et tous ceux qui dans le monde subissent l’oppression ou l’injustice, en témoignent aussi. Le combat de la liberté exige avant tout du courage. Il s’enracine dans la reconnaissance de la responsabilité individuelle et dans la protection de la propriété privée. Cannes est fière d’affirmer et de transmettre ces valeurs dans l’espace public. »

David Lisnard

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David Lisnard fait sa rentrée sur CNews et réunit plus de 700 000 téléspectateurs

Liberté le 28 août 2025
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Lors de cette intervention, David Lisnard a dénoncé l’inefficacité des réponses politiques face à la gravité de la situation du pays :

« C’est comme si on vous diagnostiquait la peste et qu’on vous prescrivait de l’homéopathie. […] Le mal est bien plus profond, on est à la fin de l’État-providence. On est au bout d’un système. »

Il a également exprimé sa défiance à l’égard de la classe dirigeante actuelle :

« Je ne fais pas confiance à ceux qui depuis des années mènent le pays dans la situation dans laquelle nous sommes et nous font la morale. »

Une rentrée offensive

Pour sa rentrée politique et médiatique, David Lisnard a choisi de parler vrai, sans détour. En alertant sur l’épuisement d’un système et en critiquant ceux qui continuent de donner des leçons après des années d’échec, il trace une ligne claire : refuser la résignation et appeler à un sursaut national.

« Le protoxyde d’azote, détourné comme gaz hilarant, est devenu un véritable fléau sanitaire, sécuritaire, environnemental et économique. Pourtant, les pouvoirs publics ferment les yeux. » Retrouvez la tribune de David Lisnard, parue dans Ouest-France le jeudi 14 août.

Plusieurs élus et personnalités, dont David Lisnard, François-Xavier Bellamy, Alexandre Jardin et Robert Ménard, appellent le gouvernement à renoncer à la publication du décret sur la programmation pluriannuelle de l’énergie. Une tribune collective parue dans Le Figaro mercredi 13 août.

Après le scandale des ZFE, la crise de la facture d’électricité qui s’annonce est une bombe à fragmentation. Une attaque sans précédent contre notre économie, contre nos vies, avec l’étrange complicité de l’État français. Quelle économie exsangue comme la nôtre pourrait absorber un nouveau doublement – désormais possible – de la facture d’électricité ? 22 % des Français sont dans le rouge à partir du 15 du mois. Plus de 50 % n’arrivent pas à l’équilibre à la fin du mois. On a répertorié 66.422 défaillances d’entreprises en 2024, soit un niveau record en quinze ans (+ 28 % par rapport à 2019). Lucides, nous le voyons.

Et voilà que, dans ce contexte d’extrême fragilité, le gouvernement prépare, dans la moiteur d’un mois d’août, la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE3), qui engage notre avenir énergétique pour… 300 milliards d’euros ! Alors qu’on peine à trouver 40 milliards d’économies dans les dépenses de l’État.

Disons-le sans détour : c’est un hold-up à ciel ouvert, une trahison de l’intérêt des gens et la promesse d’une révolte. Quand vous exécutez les classes moyennes et populaires, elles manquent soudain d’humour. Les protégés l’oublient trop souvent. La facture électrique annuelle des Français pourrait doubler. Pour les artisans, c’est l’asphyxie : un boulanger voit déjà sa facture grimper à 12.000 euros, le double en trois ans. C’est insurmontable. Les TPE, PME, transporteurs, agriculteurs, pêcheurs et commerçants vont aussi être les victimes directes ou indirectes. C’est une condamnation à mort de l’économie locale et nationale.

Logique de subventions massives

Le plan insensé du gouvernement présenté en mars ambitionne de couvrir la France de 20.000 éoliennes terrestres, de hérisser nos côtes de 50 parcs offshore, de multiplier par cinq le solaire… pour produire de l’électricité au mauvais moment, au mauvais endroit, quand le vent souffle ou que le soleil tape, mais pas quand nous en avons besoin. Alors même que notre électricité est déjà presque entièrement décarbonée, grâce à un parc nucléaire qui sera directement fragilisé par l’intermittence de ces énergies renouvelables. Le sujet n’est donc pas l’écologie.

Et pour quoi ? Pour gonfler les marges de ceux qui n’investissent que parce que l’État – c’est-à-dire vous – les subventionne à coups de milliards. On produit à perte, on vend à perte, et ce sont les factures des citoyens fragilisés qui compensent. Inadmissible. Cette logique de subventions massives, sans nécessité d’intérêt public, fausse les signaux de marché, décourage l’investissement privé fondé sur l’innovation et renchérit artificiellement une électricité pourtant censée être abondante et compétitive. Plus on produit, plus le prix de gros de l’électricité s’effondre, plus la compensation que vous payez explose. Le résultat ? Une bombe financière prête à sauter : 248 milliards d’euros si le marché tombe à 50 €/MWh. Plus de 300 milliards si on descend à 40. Une hémorragie de fonds publics qui alimentera l’accise, cette taxe au nom obscur qui tombe directement sur votre facture, cet impôt déguisé dont personne ne vous parle.

On nous vend la PPE3 comme une vision. Mais c’est un mirage, un document technocratique hors sol. La version présentée au mois de mars postule une croissance continue de la consommation électrique jusqu’à 600 TWh en 2035… en organisant la décroissance. Les Français n’achètent plus de voiture électrique par crainte de l’inflation, les industries ferment ou fuient, et la précarité énergétique gagne.

C’est une imposture politique et démocratique : pas une étude d’impact, pas une évaluation environnementale digne de ce nom. Même pas un vote au Parlement, que demandent pourtant légitimement les élus de tous bords qui représentent les Français. Juste un décret qui prépare toutes les crises futures dans le silence de l’été, pensé par une administration hors de contrôle, prête à pénaliser notre compétitivité alors qu’on nous parle de réindustrialiser la France. Une administration prête à désorganiser le fonctionnement du parc nucléaire : pour laisser la priorité d’accès au réseau à l’électricité solaire ou éolienne, les réacteurs devront demain s’arrêter, quand bien même leurs charges de fonctionnement ne seront pas supprimées… Ces variations brutales et répétées accélèrent déjà l’usure des installations, alourdissent les coûts et fragilisent le système. C’est dément.

Réduire le prix de l’électricité décarbonée

Il est encore temps d’agir, de rouvrir le dialogue, de faire de la transition énergétique un projet sain et responsable, partagé et compris. Il est encore temps d’éviter une crise sociale imminente. Temps de dire non. Temps d’exiger :

– L’arrêt immédiat de tout décret sur la PPE.

– La fin de tout financement public pour l’éolien et le solaire, qui n’apportent à notre réseau qu’une intermittence coûteuse à gérer.

– L’organisation à l’Assemblée nationale d’un véritable débat démocratique sur notre avenir énergétique, pas un simulacre. Remettons tout à plat, dans l’intérêt du peuple français, y compris les contrats déjà signés.

– Que seuls les projets ayant un sens économique, écologique et énergétique voient le jour. Aujourd’hui, les éoliennes ne produisent que des subventions. Cet argent, les 15 à 20 milliards par an que l’État entend siphonner, investissons-le dans la souveraineté énergétique, la stabilité tarifaire, l’avenir industriel. Pas dans les profits des marchands de vent et des vendeurs d’illusions. Privilégions l’efficacité économique et la compétitivité de notre tissu productif plutôt que les rentes garanties.

Électrifions les usages ; là est notre avenir. Cela veut dire : travaillons à réduire le prix de l’électricité décarbonée, pas à l’augmenter ! Le bon sens doit revenir de toute urgence.


Signataires : François-Xavier Bellamy (député européen), Nicolas Daragon (maire de Valence), Laurent Jaoul (maire de Saint-Brès et secrétaire général des #Gueux), Alexandre Jardin (écrivain, fondateur des #Gueux), David Lisnard (maire de Cannes), Emmanuelle Ménard (ancienne députée française) et Robert Ménard (maire de Béziers).

Retrouvez cette tribune sur le site du Figaro en cliquant ici.

Dans une tribune publiée sur Causeur, Sophie de Menthon, Cheffe d’entreprise et présidente du mouvement Ethic, déplore le manque de vision économique et d’audace libérale dans la classe politique française. Elle estime que, parmi les responsables de droite comme de gauche, seul David Lisnard a su porter avec clarté et pédagogie un libéralisme fondé sur la liberté et la responsabilité individuelles.

Pour lire l’intégralité de la tribune et découvrir l’analyse complète de Sophie de Menthon sur la place du libéralisme dans le débat politique français, rendez-vous sur le site Causeur en cliquant ici.

Sécurité, urbanisme, environnement, avenir politique : dans un grand entretien accordé à Actu Nice, David Lisnard, revient sur les grands enjeux de la commune et dresse le bilan de son action à la tête de la Ville.

Retrouvez l’entretien de David Lisnard en cliquant sur l’image ou en suivant ce lien.

David Lisnard était l’invité de Vincent Derosier, dans l’émission RTL Matin, jeudi 31 juillet.

Le chantier de transformation de Bocca Centre entre dans une nouvelle phase concrète avec l’arrivée prochaine d’une halle de marché accueillant 30 commerçants, d’un parking de 374 places (avec 2h gratuites par semaine, 3h chaque week-end et jours fériés, et un forfait soirée à 3 €), ainsi que la création d’un grand jardin public arboré à la place de l’ancienne dalle. En attendant, 122 places de stationnement provisoires sont mises à disposition pour accompagner les habitants durant les travaux.

Face à la sécheresse persistante, la Mairie de Cannes et le Sdis 06 ont présenté, mercredi 30 juillet, les dispositifs de prévention et de lutte contre les feux de forêt mis en place dans le massif.