« La droite ne doit pas être la rustine du Titanic »

Invité de Marc Fauvelle dans l’émission 60 Minutes Fauvelle sur BFMTV le 16 septembre 2025, David Lisnard a livré une analyse sans concession de la situation politique française. Face à l’accumulation des blocages et à la crise de confiance démocratique, il a rappelé la nécessité d’une réforme structurelle de l’État, d’un recentrage sur les missions régaliennes et d’une alternative politique forte.

Politique le 17 septembre 2025
BFM TV
Interrogé sur la suppression des avantages à vie des anciens Premiers ministres, David Lisnard a estimé que cette mesure ne pouvait être positive que si elle s’inscrivait dans une logique plus large de réduction des dépenses publiques.

« Si c’est une goutte d’eau qui s’inscrit dans un véritable océan de reflux de la dépense, ce serait positif. Mais si c’est un paravent pour masquer l’inertie, c’est un effet démagogique. »

Il a rappelé que la France détient le record mondial des dépenses publiques et des impôts, et que seule une réforme en profondeur pouvait recréer un cycle vertueux de création de richesse et de pouvoir d’achat.

 

Évoquant les violences contre les forces de l’ordre, David Lisnard a dénoncé la « culture de l’excuse » et les failles du système judiciaire et carcéral :

« Il y a une surpopulation carcérale, indigne d’une démocratie, mais aussi une sous-incarcération. On n’applique pas les condamnations telles qu’il le faut. »

Il a plaidé pour une nouvelle politique pénale, un respect de l’autorité dès l’enfance et un État recentré sur ses missions fondamentales : sécurité, justice et protection des libertés.

 

Face aux propositions de la gauche, notamment la taxe Zucman, David Lisnard a rappelé les réalités fiscales :

« 55 % des ménages ne paient pas l’impôt sur le revenu. Les 10 % de ménages qui contribuent le plus paient 70 % de l’impôt. La solution n’est pas d’augmenter encore les impôts mais de réduire la dépense publique et de libérer les forces créatrices de notre pays. »

Pour lui, seule une baisse structurelle de la dépense publique peut redonner du revenu net aux travailleurs et de la compétitivité à l’économie.

 

David Lisnard a refusé l’idée que la droite puisse se contenter d’accompagner le gouvernement actuel :

« La droite mérite mieux que d’être la rustine du Titanic. Elle doit proposer une alternative très puissante autour de trois axes : libération économique, sécurité et éducation. »

Concernant Emmanuel Macron, il a évoqué l’hypothèse d’une démission différée du chef de l’État, non comme une revendication, mais comme une issue possible pour débloquer la situation politique et « régénérer la démocratie ».

 

Enfin, David Lisnard a jugé « une erreur et même une faute » la reconnaissance par la France d’un État palestinien sans conditions claires :

« Reconnaître aujourd’hui un État de Palestine, c’est une énorme victoire pour le Hamas. Le processus de paix doit passer par deux États, mais avec des représentants légitimes et responsables. »

David Lisnard sur Sud Radio : « La droite ne doit pas être la béquille du macronisme »

Invité de l’émission politique de Jean-François Achilli sur Sud Radio, David Lisnard est revenu sur l’actualité sociale et politique du pays, rappelant l’urgence de bâtir une alternative cohérente face au chaos institutionnel et aux dérives idéologiques.

le 17 septembre 2025
SUDRADIO

Face à la grève annoncée dans l’éducation nationale, il a souligné le rôle des élus locaux et de leurs services, une fois encore « en première ligne pour assurer la continuité de la vie quotidienne », tout en mettant en garde contre les blocages, qui « frappent d’abord ceux qui doivent travailler chaque jour pour vivre ».

Le président de Nouvelle Énergie a dressé un constat sans détour :

« Le problème vient du fait qu’en France il y a trop d’État et mal d’État. Ceux qui bloquent demandent toujours plus de dépenses, plus d’assistanat, alors que la solution passe par plus de mérite, de liberté et de responsabilité. »

Évoquant la montée des violences, Lisnard a dénoncé la perte de repères d’autorité et la nécessité d’une réforme profonde du droit pénal :

« Tant qu’on n’aura pas retrouvé ce sens de l’autorité, le pays explosera. »

À propos de la situation politique nationale, il a rappelé qu’Emmanuel Macron porte une responsabilité majeure dans le blocage institutionnel, en raison notamment de la dissolution de 2024 :

« Je ne suis pas pour la destitution, qui serait le chaos. Mais le président de la République doit prendre acte de la situation et envisager une démission différée, dans une approche gaullienne, pour rélégitimer l’action politique. »

Il a également fustigé l’attitude d’Olivier Faure, qui appelle à hisser le drapeau palestinien sur les frontons des mairies :

« C’est une faute lourde qui alimente un antisémitisme déjà croissant et joue avec le feu insoumis. »

Enfin, David Lisnard a dénoncé l’inaction de l’exécutif face à l’emprisonnement arbitraire de l’écrivain Boualem Sansal en Algérie :

« L’honneur d’une nation, c’est de défendre ses ressortissants. Le silence et l’indifférence générale traduisent un délitement inquiétant. »

Pour Lisnard, l’enjeu est clair : proposer une véritable alternative de redressement autour de trois piliers – la libération économique, la sécurité et l’éducation – et refuser toute compromission :

« La droite ne doit pas être la béquille du macronisme, ni celle du socialisme. »

David Lisnard : « Emprisonnement de Boualem Sansal, trois cents jours d’indignité et d’effacement de la France »

TRIBUNE – Face à un régime algérien de plus en plus liberticide, dont la seule martingale politique consiste à attaquer notre pays et à jouer de notre faiblesse, ces trois cents jours d’inertie et de silence marquent la fin d’une certaine idée de la France, déplore David Lisnard

International le 12 septembre 2025
Sansal ARTICLE

Trois cents jours. Trois cents jours que notre compatriote Boualem Sansal subit l’arbitraire du pouvoir algérien. Trois cents jours que cet immense écrivain croupit dans les geôles algériennes. À 80 ans, gravement malade, il paye sa double nationalité franco-algérienne. Il paye d’enrichir la France de sa plume et de faire rayonner l’esprit universaliste français. Il paye de critiquer le régime de Tebboune, les islamistes, et de penser librement. L’auteur de 2084, celui qui dissèque les totalitarismes avec la lucidité d’un Orwell, est réduit au silence. Face à un régime algérien de plus en plus liberticide, dont la seule martingale politique consiste à attaquer notre pays et à jouer de notre faiblesse, ces trois cents jours disent tout de l’effacement de la France.

Trois cents jours d’injustice et de souffrance pour un homme libre et trois cents jours d’indignité pour nos intellectuels, nos artistes, et tous les bien-pensants. Eux si prompts à embrasser des causes étrangères, souvent hostiles à la France et plus largement aux démocraties, eux qui ont défendu Cesare Battisti, terroriste italien, avec une ferveur militante, eux qui arborent des drapeaux palestiniens en soutien aux néo-nazis du Hamas, sont aphones, incapables du moindre mot pour un compatriote, un auteur de langue française à l’œuvre universelle. Les mêmes, qui se gargarisent de grands principes, ont des indignations sélectives et sont muets quand il s’agit de défendre un écrivain qui ne correspond pas à leur grille idéologique. Leur silence assourdissant sur Boualem Sansal les discrédite à jamais.

Ces trois cents jours sont aussi ceux de l’incapacité pour l’exécutif français à agir. Le président de la République et le ministre des Affaires étrangères ont-ils seulement essayé, eux qui ont voulu nous faire croire à des tractations en coulisses pour nous faire taire et jouer sur l’oubli ? Les déclarations polies du Quai d’Orsay masquent une inertie coupable. La diplomatie française s’enferme dans une posture de repentir systématique. Cette culpabilisation permanente nourrit le mépris et encourage l’arrogance du régime algérien. La France n’a su imposer ni dialogue partenarial ni rapport de force. Ni stratégie, ni autorité.

Rien n’est fait non plus pour le journaliste français Christophe Gleizes, emprisonné, lui aussi arbitrairement, depuis mai 2024. Notre diplomatie sait-elle encore agir ? Jusqu’alors, jamais, à aucune époque, sous aucun président, avec aucune génération d’intellectuels, la France n’avait toléré pareille ignominie. Jamais la France, héritière des Lumières, patrie de Voltaire, Zola, Hugo, Camus, n’abandonnait ainsi les siens. Jamais la France n’avait renoncé à être elle-même.

Ces trois cents jours sont aussi et enfin ceux de l’inconscience de la société française. Beaucoup pensent que cette affaire ne les concerne pas, qu’il s’agit d’une histoire entre Algériens. Erreur tragique. Non seulement Boualem Sansal est l’un de nos compatriotes mais n’y avait-il pas également de la France chez Soljenitsyne, Vaclav Havel ou Primo Levi ? Quand un écrivain est emprisonné pour ses idées, c’est l’âme française qui est attaquée et notre conception de la liberté qui est piétinée.

Face à cette indifférence, avec le comité de soutien international à Boualem Sansal, animé notamment par Arnaud Benedetti, Catherine Camus et Noëlle Lenoir et regroupant des voix courageuses comme celles de Georges-Marc Benamou, Pascal Bruckner et quelques autres, nous avons lancé l’opération « Je lis Sansal ». Ils sont peu nombreux à rappeler l’essentiel face à la lâcheté générale, mais en cela ils tentent de sauver Sansal et un peu de notre dignité collective. Aussi importante soit-elle, cette mobilisation reste insuffisante si le pays demeure indifférent et le pouvoir inopérant.

Le régime algérien teste notre détermination. Il constate que la France alterne entre silences pesants et soubresauts stériles, faits de rodomontades sans conséquences vis-à-vis de nos partenaires ou adversaires. Il est un constat objectif et cruel : notre pays se révèle incapable de protéger ses propres citoyens.

Le silence et l’inertie français sont un déshonneur collectif. Ils marquent la fin d’une certaine idée de la France. Celle qui savait que défendre un écrivain emprisonné, c’était défendre la liberté de tous. L’enjeu, aujourd’hui, n’est pas seulement la survie d’un homme âgé, malade, victime d’une justice instrumentalisée et d’un pouvoir despotique. L’enjeu, c’est l’existence même de l’esprit français et de l’âme de notre nation. Liberté pour Boualem Sansal. Liberté pour Christophe Gleizes. Immédiatement. Car leur liberté est la nôtre. Et leur abandon est notre reddition.

 

Retrouvez la tribune de David Lisnard parue dans le Figaro, vendredi 12 septembre 2025, en cliquant ici.

Tribune

Le 11 septembre 2001 : un jour sans fin

L’onde de choc des attentats du 11 septembre 2001 continue de fracturer le monde. Ce jour-là, en frappant les États-Unis d’Amérique sur leur sol, le totalitarisme islamiste déclarait la guerre non pas à l’Amérique seule, mais à ce qu’elle incarnait : la liberté, la démocratie, l’émancipation de la femme, l’indépendance individuelle.

International le 11 septembre 2025
RUPTURE

Vingt-quatre ans plus tard, force est de constater que nous n’avons toujours pas pris totalement la mesure de ce défi existentiel. Nous avons traqué les terroristes et traité le terrorisme comme un problème de sécurité – ce qu’il est – tout en refusant de voir qu’il s’agissait aussi d’une guerre culturelle et politique, menée par des forces qui récusent les fondements mêmes de la modernité occidentale.

Depuis, cette guerre a muté, mais elle n’a jamais cessé.

D’Al-Qaïda à Daech, du califat territorial aux loups solitaires, le totalitarisme islamiste a muté mais n’a pas désarmé. Les formes changent, l’idéologie demeure. Les attentats de masse ne cessent pas et la France en a payé un lourd tribut. Madrid, Paris, Mumbai, Londres, Sousse, Nice… La liste est longue. Les victimes nombreuses. La sidération toujours aussi vive.

Au-delà de ces déflagrations, c’est la conquête méthodique des esprits qui progresse. Dans trop d’établissements, on renonce désormais à enseigner la Shoah, Darwin ou Voltaire. Dans des manifestations, on préfère la « pureté » totalitaire du Hamas néonazi aux imperfections de la démocratie, en l’occurrence israélienne. Dans certains quartiers, des tribunaux islamiques rendent une justice parallèle. L’islamisme à bas bruit avance ses pions dans les entreprises, dans le tissu associatif, dans les clubs sportifs, dans les cantines scolaires, dans les piscines publiques. Ce grignotage méthodique procède par intimidation diffuse et compromissions successives. Chaque abandon paraît négligeable. Leur somme constitue une capitulation.

Cette offensive rencontre notre propre renoncement à incarner ce que nous sommes, à assumer notre histoire, nos racines et notre héritage civilisationnel. Il nous faut donc retrouver cet élan bergsonien qui distingue les peuples vivants des peuples mourants. Les premiers affrontent, les seconds se soumettent.

Cela suppose de rompre avec des décennies de relativisme et de mobiliser nos forces spirituelles et matérielles. D’affirmer que tout ne se vaut pas, que la démocratie est supérieure à la tyrannie, que la science éclaire et que la raison libère. D’assumer que nous avons des ennemis et qu’il faut les combattre. De comprendre que la paix n’est pas l’absence de conflit mais la victoire du droit sur la force.

Il faut aussi mesurer que la menace est aujourd’hui diffuse et ne se limite pas à l’islamisme. Nous assistons à une convergence des forces anti-libérales. La Russie de Poutine, la Chine de Xi Jinping, l’Iran des mollahs, mais aussi, chez nos jeunes bourgeois occidentaux, les populismes identitaires ou les idéologies woke récusent l’individu autonome et la délibération démocratique.

Face à cette internationale de l’obscurantisme, la puissance est un impératif. Puissance militaire, évidemment. Diplomatique surtout, tant notre voix s’est éteinte après avoir abandonné le Sahel à Wagner et aux djihadistes, fait preuve d’ambigüité après le 7 octobre au Proche-Orient, oscillé entre grandes déclarations et atermoiements dans le conflit en Ukraine : aujourd’hui, nous ne pesons plus ni à Washington, ni à Pékin, ni même à Alger. Puissance éducative, aussi, pour transmettre notre héritage, juridique pour protéger nos libertés, culturelle pour nous opposer à la propagande de nos adversaires, démographique, enfin, car une société qui ne fait plus d’enfants est une société qui a cessé d’espérer.

Les tours du World Trade Center ne se relèveront pas. La civilisation qu’elles symbolisaient, elle, le peut encore. À condition de la savoir mortelle, donc précieuse, et de vouloir demeurer ce que nous sommes : des hommes libres. Il y a une condition absolue à cela : le courage, le courage moral, le courage physique, le courage !

 

Retrouvez cette chronique sur le site de Rupture-Mag en cliquant ici.

Veldhiv_02

« L’islamisme à bas bruit avance ses pions dans les entreprises, dans le tissu associatif, dans les clubs sportifs, dans les cantines scolaires, dans les piscines publiques. Ce grignotage méthodique procède par intimidation diffuse et compromissions successives. Chaque abandon paraît négligeable. Leur somme constitue une capitulation. »

David Lisnard

À Cannes, David Lisnard affirme « ne pas faire confiance à François Bayrou pour redresser le pays »

Lors de la traditionnelle rentrée politique, le président de Nouvelle Énergie invite à faire la différence entre les discours et les actes. Avec une ambition présidentielle intacte.

Social le 05 septembre 2025
FIG

Retrouvez l’article d’Emmanuel Galiero paru dans le Figaro :

FIG

Un campus du spatial prévu dès l’an prochain à Cannes

Le projet devrait voir le jour dans le pôle métropolitain Cap Azur, avec l’objectif de répondre aux besoins des entreprises du secteur. Avec des « étudiants, des chercheurs et des investisseurs ».

Cannes le 04 septembre 2025
Gx0iN_XW4AAhsos

Retrouvez l’article de Nice Matin :

IMG_3203

Un « Waze des personnes à mobilité réduite » à Cannes

Depuis peu, StreetNav permet aux personnes porteuses de handicap de se déplacer plus facilement à Cannes. L’application recense les obstacles et propose de choisir l’itinéraire adapté à sa mobilité.

Cannes le 04 septembre 2025
Lancement StreetNav - 1 (c) Mairie de Cannes-min

Retrouvez l’article de Nice Matin :

IMG_3202

David Lisnard : « Si Pompidou était là aujourd’hui, il nous dirait ‘ne revenons pas aux années 60’ »

Société le 04 septembre 2025
DL 111

Auteur, avec Christophe Tardieu, de l’ouvrage « Les leçons de Pompidou », David Lisnard sera à Charleville ce vendredi 5 septembre 2025, pour un baptême et des dédicaces. Il a accordé un entretien à L’Ardennais en amont de sa venue.

Ardennais

David Lisnard invité de “Tout est politique” sur France Info

Le 2 septembre 2025, David Lisnard était l’invité de l’émission “Tout est politique” sur France Info. Au cours de cet entretien, le président de Nouvelle Énergie est revenu sur plusieurs sujets majeurs de l’actualité nationale. Face à la situation politique et à la dissolution probable de l’Assemblée nationale, il a livré ses réflexions sur le fonctionnement de nos institutions et la nécessité de repenser notre cycle démocratique. David Lisnard a également confirmé son intention de participer à une grande primaire ouverte à droite, pour désigner un candidat unique en vue de l’élection présidentielle de 2027. Cette proposition, qu’il défend depuis plusieurs mois, vise à éviter la division des forces de la droite et du centre et à garantir un projet cohérent face aux défis du pays. À travers cet échange, il a réaffirmé sa volonté d’incarner une alternative fondée sur la liberté, la responsabilité et l’efficacité de l’action publique.

Economie le 03 septembre 2025

« Remplacer l’Etat Providence par un Etat performance » : David Lisnard a fait sa rentrée politique devant 2500 personnes à Cannes

« La raison d’être de Nouvelle Énergie est de faire gagner la liberté, le bon sens et l’ordre juste face à tout ce qui nous entrave et nous sclérose », a affirmé David Lisnard lors de sa rentrée politique à Cannes, sur la butte Saint-Cassien, devant 2 500 personnes, parmi lesquelles de nombreux élus locaux, parlementaires et relais venus de toute la France et de l’étranger.

Discours le 03 septembre 2025
DL RP

Le président de Nouvelle Énergie a rappelé que, s’il était député, il ne voterait pas la confiance au gouvernement de François Bayrou, dénonçant un projet qu’il juge marqué par une hausse massive des dépenses publiques et des prélèvements obligatoires.

Face à ce qu’il considère comme le découragement de l’effort et le désordre public, David Lisnard a défendu une autre voie :

« remplacer l’État-providence par un État-performance ». David Lisnard a illustré cette ambition en évoquant les réalisations de sa municipalité, fondées sur l’amélioration des services publics, rendue possible par la rigueur fiscale et budgétaire. Une méthode qu’il souhaite appliquer demain à l’échelle nationale.

Dans cette perspective, David Lisnard a réitéré son appel à une primaire ouverte. Selon lui, elle permettrait d’éviter la division des forces de la droite et leur accaparement par quelques notables, mais aussi de préserver l’intégrité d’un projet politique de redressement. « Je le porterai, d’une façon ou d’une autre », a-t-il affirmé devant ses soutiens.

DL MICRO

« Nous devons reprendre en main le destin de la France. Cela passe par une grande compétition politique pour gagner les élections, mais aussi par une libération de toutes les forces vives de notre pays. Avec Nouvelle Énergie, nous allons libérer la France du carcan bureaucratique, libérer la magistrature des freins idéologiques, libérer la police de la paperasse, libérer l’éducation de ses rigidités, libérer les entreprises de l’excès de charges et les salariés de l’excès de cotisations. Cotiser moins pour gagner plus : ce sera la réalité. La France a en elle cette nouvelle énergie, et avec vous, nous allons la faire gagner. »

David Lisnard

JUL08975-min
Sans titre-1
JUL08912-min
ALEX
Lisanrd foule
DRONE nuit