« Il faut préserver le développement des communes, notamment rurales, prendre en compte les efforts réalisés et isoler du total constructible les grands projets nationaux » David Lisnard.

Parmi les thématiques abordées : comptes publics, immigration et lutte contre la bureaucratie.

Retrouvez l’intégralité du passage de David Lisnard en cliquant sur la photo ci-dessus ou sur ce lien.

« J’ai toujours porté un amour aux pointus. Mon grand-père en avait un. Dès que j’ai été élu maire, j’ai demandé aux équipes de trouver une manière de favoriser la présence et la récurrence des pointus et plus largement des bateaux patrimoniaux » David Lisnard.

Le premier concours d’élégance de pointus, organisé par l’Association des Pointus de la Baie de Cannes, en partenariat avec la Mairie de Cannes, s’est tenu au Port Canto. Une manifestation qui s’inscrit pleinement dans la volonté de David Lisnard de valoriser cet élément fort de l’identité cannoise et provençale. David Lisnard a d’ailleurs fait savoir qu’un espace dédié à leur accueil sera aménagé dans le cadre du projet de modernisatation du Vieux-Port (comme c’est déjà le cas dans les ports Canto et du Moure Rouge), qui sera ainsi plus enraciné que jamais !

« Posons-nous la question aujourd’hui de notre liberté, de sa définition à l’échelle du pays qui est la souveraineté. Comment relever les défis écologiques, économiques, numériques, géopolitiques, démographiques qui marquent cette 1ère moitié de XXIème siècle ? » David Lisnard.

« Célébrer le 8 mai, c’est rendre hommage à nos morts, cannois, français, du monde entier, dans un conflit dont les civils furent particulièrement victimes : par les bombardements, les représailles, la barbarie aussi abjecte qu’absurde de la solution finale. Célébrer le 8 mai, c’est exprimer notre éternelle reconnaissance aux libérateurs, au sacrifice des soldats alliés, américains, anglais, canadiens, australiens, de toutes les démocraties mobilisées face au totalitarisme du IIIème Reich. Célébrer le 8 mai, c’est assurer notre devoir de mémoire de ce sacrifice et de fidélité à cet héritage héroïque, chargé du sens de la transcendance pour la liberté et l’honneur, sans lesquels la paix ne peut être que renoncement, donc soumission. Notre devoir, aujourd’hui, au-delà de la mémoire, est de construire l’avenir, d’en finir avec le déclassement français, d’inverser la remise en cause de la démocratie.

La démocratie est un trésor à sans cesse protéger et régénérer. Or, les régimes fondés sur la liberté et la responsabilité sont attaqués sur deux fronts : extérieur, par les dictateurs du moment aux pulsions impérialistes et par les totalitaristes islamistes ; intérieur aussi, par ceux qui la rongent en dégradant la pratique de l’action publique, dénigrant les institutions et justifiant toutes les violences, comme en marge de certaines manifestations dévoyées par les casseurs et autres black block, et même au sein de la représentation nationale où des agitateurs multiplient les provocations et expressions de leur haine de la démocratie libérale comme plus largement de notre civilisation. Ils sont en cela les marqueurs et acteurs de la déconstruction masochiste de ce qui fait notre mode de vie, tel le wokisme et autres racialistes. Face à ces menaces, ces dangers, ces attaques, la réaction doit être avant tout morale. Il n’y a pas de liberté qui tienne sans exigence comportementale et spirituelle, sans efforts d’abord sur soi et pour la Nation. Posons-nous la question aujourd’hui de notre liberté, de sa définition à l’échelle du pays qui est la souveraineté. Comment relever les défis écologiques, économiques, numériques, géopolitiques, démographiques qui marquent cette 1ère moitié de XXIème siècle ?

Je citerai ici seulement deux de ces défis majeurs et prioritaires, outre bien sûr la lutte contre le réchauffement climatique : la question éducative et la révolution de l’Intelligence Artificielle ; les deux en fait sont intimement liées. L’Intelligence Artificielle générative fascine le monde, interroge, effraie. Et pourtant, il s’agit encore de l’âge de pierre de la révolution de l’IA. Toutes nos professions, activités, expressions vont être bouleversées. Le désastre n’est pas l’arrivée de cette Intelligence Artificielle qu’il va falloir domestiquer, mais le déclassement éducatif de notre pays, la stagnation voire la baisse du QI moyen, le recul du libre arbitre. Maîtriser l’Intelligence Artificielle exige plus que jamais d’apprendre les humanités, d’exercer sa raison critique, d’exprimer de la créativité. Plutôt qu’à coder l’informatique (ce que fera bien mieux l’IA que l’humain), nous devons apprendre à décoder le monde. Si rien ne serait plus vain que de s’opposer à cette révolution, il faut rester fidèles à ses principes : la liberté comme valeur cardinale, la responsabilité comme corollaire indissociable, la culture et la raison critique comme sources d’émancipation.  Il y a désormais urgence ! Voulons-nous subir ou choisir ? Être une colonie numérique des États-Unis et de l’Asie ou porter une ambition industrielle française et européenne, affirmer notre vision, être libres donc puissants ? Notre pays pourrait être aux avant-postes de la révolution technologique qui commence, à condition de ne pas sortir les fourches, ou tout simplement de ne pas refuser de voir cette révolution qui se déroule sous nos yeux. Face à ce profond bouleversement du numérique, la priorité doit être de renforcer l’instruction donc l’enseignement, dans l’esprit des vainqueurs de 1945 !

Sans distinction d’origine et de moyens, chaque écolier doit pouvoir bénéficier d’un enseignement qui le hissera vers la réflexion, la vision critique, la curiosité intellectuelle. Or, au prétexte de la « mixité sociale », l’école publique est abandonnée. Nos établissements publics doivent redevenir des sanctuaires de l’esprit libre, pour des élèves qui maitrisent la langue et formés à la logique rhétorique, à la raison critique, aux fondamentaux comme les mathématiques et l’orthographe, la culture générale. Le mérite, seul, doit y prévaloir, sur le modèle des lois scolaires pionnières de Jules Ferry, qui attachait une importance toute particulière à l’émancipation de l’individu, gage de performance personnelle et de cohésion nationale.

La France, lorsqu’elle fut traversée par des crises, et particulièrement celle de la sortie de 39-45, a toujours su retrouver, avec acharnement au fil du temps, un équilibre qui lui fit honneur. Parvenir à faire de la France un pays vainqueur de la deuxième guerre mondiale, et pas simplement libéré par les forces alliées soutenues par la résistance, relève du génie politique, celui du général de Gaulle. La France s’est construite au fil des siècles sur le courage, sur l’honneur, sur le sacrifice de ses enfants. Plus d’une fois éprouvée, elle s’est toujours renforcée en puisant au plus profond d’elle-même, de ses valeurs, de ce qu’elle est réellement. Ce testament, pour protéger les générations futures, il est temps de le rédiger, de sortir du vide la pensée. Il passe par la transmission des valeurs de la République, le partage des œuvres culturelles, la valorisation du patrimoine. Tout cela nous parle de courage, d’honneur, de sacrifice. Tout cela nous dit ce qu’il nous appartient aujourd’hui de mettre en pratique pour donner un sens à notre avenir commun. Là est le testament des libérateurs de 1945 pour nos enfants » David Lisnard.

Un rendez-vous organisé par l’association SEP’Avenir, parrainée par Dominique Farrugia.

« Dominique Farrugia est vraiment une personnalité étonnante et forte. Intelligent et attentionné, très professionnel et rigoureux dans son travail (qui nous vaut de beaux tournages à Cannes), courageux et engagé pour les autres face à la sclérose en plaques » David Lisnard. 

« Soucieux de soutenir la lutte contre la sclérose en plaques, de sensibiliser le grand public à cette maladie hélas encore trop méconnue, mais aussi et surtout d’aider les personnes malades à travers de nombreux ateliers et conférences, nous avons accueilli un événement sur cette thématique.

Cette opération de grande ampleur s’inscrit pleinement dans la politique proactive que nous menons en matière de soutien aux personnes en situation de handicap. Veiller à l’insertion de tous, sur l’espace public comme au sein de nos équipements communaux, également dans les écoles, est une question d’éthique et civilisationnelle : chacun a sa place dans la société. A Cannes, cela se traduit par une somme d’actions concrètes que nous déployons méthodiquement depuis 2014 (et que nous allons encore renforcer).

Nous avons par exemple mis 25 squares et jardins publics en accessibilité, notamment avec des jeux adaptés aux enfants en situation de handicap, mais aussi 91 des 98 bus de la flotte Palm Bus, en plus du service Palm à la demande. En matière d’offre de stationnement pour personnes à mobilité réduite, nous allons bien au-delà des 2% exigés par la loi, avec un total de 3,3%. Notons, à ce titre, que je demande à la Police Municipale une répression systématique pour le stationnement non autorisé sur les places dédiées aux personnes handicapées. Nous disposons aussi à Cannes d’une des plus belles Handiplages d’Europe, labellisée 4 bouées (moteur, visuel, auditif, mental) qui accueille plus de 10 000 usagers par saison.

Dans les écoles, j’ai tenu à ce que nous recrutions 11 Accompagnants des Élèves en Situation de Handicap (AESH) supplémentaires sur les temps de cantine et/ou périscolaires et extrascolaires – nous en avons 21 au total à Cannes. Récemment, je me suis également rendu à la Villa Morava dans la Californie – magnifique site municipal que nous mettons à disposition de l’ADAPEI 06, où 121 adultes handicapés travaillent dans le cadre d’Ateliers Protégés, avec vue sur mer.

Cette liste d’actions n’est évidemment pas exhaustive. A titre d’exemple, je n’ai pas détaillé ici tous les travaux que nous avons réalisés et que nous prévoyons de faire sur nos équipements communaux, parmi lesquels les structures sportives et culturelles. Elle démontre surtout notre volonté de permettre aux personnes en situation de handicap de s’épanouir : dans leur quotidien, leurs trajets de tous les jours, leurs hobbies, par l’instruction ou le travail. La dignité est la finalité de toute action publique. Elle n’est ni dans la compassion, ni dans le paternalisme. C’est agir pour que chacun puisse avoir sa place dans la société et soit reconnu dans se dignité de personne humaine » David Lisnard.

« Honneur, constance, loyauté : voici notre bel « Arbre de l’Ordre National du Mérite », un Ginko Biloba, espèce majestueuse aux feuilles d’or pouvant vivre plus de 1000 ans, aussi longtemps je l’espère que les valeurs républicaines cardinales portées par l’Ordre » David Lisnard.

Le Ginko Biloba, planté au square Léo Callandry de Cannes, sur le boulevard Carnot, en présence des élèves de l’école Maurice Alice qui ont entonné une Marseillaise pour l’occasion, est célèbre pour ses feuilles couleur or à l’automne, peut atteindre 20 à 30 mètres et vivre 1000 ans. Le geste, autant que les propriétés de l’arbre, est fort de signification : il symbolise la transmission des valeurs républicaines portées par l’Ordre National du Mérite.

« L’Ordre National du Mérite c’est la volonté de placer l’honneur, la constance et la loyauté comme valeurs fondamentales d’une société. Le mérite c’est ce qui permet de se constituer dans le temps, de passer de l’action à l’œuvre. Cette valeur qu’est l’honneur est parfois l’oubliée de nos sociétés contemporaines. C’est pourtant celle qui permet de tenir debout. Une société ne peut s’inscrire solidement dans la durée si elle n’est pas fondée sur l’honneur » David Lisnard.

Désert médicaux, rémunération et carrières des soignants, saturation des urgences, Intelligence Artificielle : les échanges étaient riches et fournis sur Discord. D’autres thématiques seront abordées à l’occasion de futurs débats.

Retrouvez l’intégralité du débat en cliquant sur la photo ci-dessus ou sur ce lien.

Un événement qui s’inscrit dans la politique proactive et volontariste de la Mairie de Cannes en faveur des personnes en situation de handicap.

« Plus de 100 000 personnes sont atteintes de sclérose en plaques (SEP) en France. Les trois quarts sont des femmes. Cette maladie, difficile à diagnostiquer, touche majoritairement les jeunes adultes. Les symptômes sont très handicapants pour le quotidien des personnes atteintes et peuvent être des facteurs d’isolement social.

Soucieux de soutenir la lutte contre la sclérose en plaques, de sensibiliser le grand public à cette maladie hélas encore trop méconnue, mais aussi et surtout d’aider les personnes malades à travers de nombreux ateliers et conférences, nous accueillons un événement sur cette thématique. Cette journée de sensibilisation, organisée par l’association SEP’Avenir et parrainée par le talentueux Dominique Farrugia qui sera présent à cette occasion –, se tiendra samedi de 10h à 19h sur les Allées de la Liberté. Vous en trouverez le programme intégral ici : https://www.cannes.com/…/festival-de-la-sclerose-en…

Cette opération de grande ampleur s’inscrit pleinement dans la politique proactive que nous menons en matière de soutien aux personnes en situation de handicap. Veiller à l’insertion de tous, sur l’espace public comme au sein de nos équipements communaux, également dans les écoles, est une question d’éthique et civilisationnelle : chacun a sa place dans la société. A Cannes, cela se traduit par une somme d’actions concrètes que nous déployons méthodiquement depuis 2014 (et que nous allons encore renforcer).

Nous avons par exemple mis 25 squares et jardins publics en accessibilité, notamment avec des jeux adaptés aux enfants en situation de handicap, mais aussi 91 des 98 bus de la flotte Palm Bus, en plus du service Palm à la demande. En matière d’offre de stationnement pour personnes à mobilité réduite, nous allons bien au-delà des 2% exigés par la loi, avec un total de 3,3%. Notons, à ce titre, que je demande à la Police Municipale une répression systématique pour le stationnement non autorisé sur les places dédiées aux personnes handicapées. Nous disposons aussi à Cannes d’une des plus belles Handiplages d’Europe, labellisée 4 bouées (moteur, visuel, auditif, mental) qui accueille plus de 10 000 usagers par saison.

Dans les écoles, j’ai tenu à ce que nous recrutions 11 Accompagnants des Elèves en Situation de Handicap (AESH) supplémentaires sur les temps de cantine et/ou périscolaires et extrascolaires – nous en avons 21 au total à Cannes. Récemment, je me suis également rendu à la Villa Morava dans la Californie – magnifique site municipal que nous mettons à disposition de l’ADAPEI 06, où 121 adultes handicapés travaillent dans le cadre d’Ateliers Protégés, avec vue sur mer.

Cette liste d’actions n’est évidemment pas exhaustive. A titre d’exemple, je n’ai pas détaillé ici tous les travaux que nous avons réalisés et que nous prévoyons de faire sur nos équipements communaux, parmi lesquels les structures sportives et culturelles. Elle démontre surtout notre volonté de permettre aux personnes en situation de handicap de s’épanouir : dans leur quotidien, leurs trajets de tous les jours, leurs hobbies, par l’instruction ou le travail. La dignité est la finalité de toute action publique. Elle n’est ni dans la compassion, ni dans le paternalisme. C’est agir pour que chacun puisse avoir sa place dans la société et soit reconnu dans se dignité de personne humaine » David Lisnard.

Tradition respectée pour les groupes provençaux, l’Espérance de Cannes, les représentants des marchés et fleuristes qui ont offert le muguet du 1er mai à David Lisnard lors de l’aubade annuelle dans le bureau du Maire.

« Le 1er mai c’est le début du mois de l’amour, de la nature, de la renaissance, de la lumière, de l’énergie. Ce mois qui commence par la fragilité et la beauté du muguet. Aujourd’hui nous célébrons Cannes, son identité, son âme. Ce rendez-vous est placé sous le signe des racines et de la finalité de notre ville, ce village mondial ouvert sur le monde, fier d’être provençal et français. Tous ici, vous incarnez Cannes et êtes les transmetteurs de son identité. Mais pour la préserver, la transmettre, la valoriser et lui être fidèle, nous devons absolument la régénérer, l’alimenter, notamment par des projets, des progrès. » David Lisnard.

Moment de joie, d’euphorie et d’émotions vendredi 20 mai sur les marches du Palais des Festivals, foulées par une centaine d’écoliers cannois pour la projection de la nouvelle adaptation du Petit Nicolas, dans le cadre de la 75ème édition du Festival de Cannes. Une action 100% EAC voulue par David Lisnard.

David Lisnard a fait de l’éducation culturelle un pilier de sa politique, si bien que, sous son impulsion, Cannes est devenue la première ville de France labellisée 100% EAC : tous les jeunes scolarisés à Cannes participent au moins à un projet artistique et culturel au cours de leur scolarité. Une initiative devenue depuis un véritable modèle national.

C’est dans ce dessein que la Mairie de Cannes a souhaité faire participer une centaine d’écoliers des écoles cannoises à la 75ème édition du Festival de Cannes, en les mettant à l’honneur sur le fameux tapis rouge, pour la projection de « Le Petit Nicolas : qu’est-ce qu’on attend pour être heureux », en présence de l’équipe du film. David Lisnard les a accueillis en haut des marches du Palais des Festivals, pour un moment de joie qui restera probablement gravé à jamais dans leur mémoire.